Une histoire de tripes

On parle suffisamment dans la presse culturiste et dans toute autre revue ou support d’information lié à la santé de l’importance de soigner son alimentation.

On ne reviendra pas sur cet acquis. L’alimentation est fondamentale pour rester en bonne santé et développer son physique.

Cela étant dit, il convient d’aller voir un peu plus loin dans le processus d’assimilation des nutriments pour attiser sa curiosité intellectuelle mais aussi et surtout pour prendre soin de l’organe maître du processus de digestion : le tube digestif.

Dans ce billet, nous découvriront quelques éléments clés de ce formidable allié de notre santé !

Rappels d’anatomie

Le tube digestif est un élément fondamental de notre corps. Sa fonction première est de traiter la nourriture pour extraire les nutriments indispensables à notre survie et puiser l’énergie nécessaire à nos activités quotidiennes.

Si ses éléments constitutifs sont souvent connus (bouche, œsophage, estomac, intestins grêle, gros intestins), le fonctionnement de l’ensemble recèle encore de mystères que nous commençons à découvrir.

Les nouvelles thérapies de santé faisant appel au pro biotique en outre, s’inspirent des dernières découvertes dans le domaine. Par exemple, notre comportement est lié à la population bactérienne que nous abritons dans nos entrailles. Les interactions peuvent être très étroites dans cette symbiose.

Le manque de certaines bactéries pourrait provoquer des troubles de la peau liés à une mal absorption de certains nutriments pour ne citer que cet exemple.

Faits marquants

Ci-dessous quelques faits clés sur le système digestif :

  • Au niveau des molaires, l’adulte peut exercer des pressions de l’ordre de 80 kilos, ce qui fait du muscle des mandibules, le plus fort de tout le corps humain
  • Chez l’adulte, les enzymes permettant de digérer le lactose (sucre du lait) ne sont plus actives que pour une proportion de 10 à 15% d’entre elles
  • La constitution de l’œsophage fait que l’on peut déglutir même en ayant la tête en bas
  • Rendre gorge est un processus naturel de survie déclenché lorsque le corps juge que le contenu de l’estomac et de l’intestin grêle est trop toxique pour pouvoir être traité sans danger. Par ailleurs, les souris, les lapins et les chevaux ne sont pas capables de vomir comme les hommes peuvent le faire !
  • L’alimentation occidentale se compose à 90% de ce que nous mangeons et de 10% de ce que les bactéries de nos intestins nous donnent à manger !

Pour en savoir plus

Après ce survol, je ne pourrais que vous conseiller la lecture de l’ouvrage de Giulia Enders intitulé : Le charme discret de l’intestin.

Vous y découvrirez plusieurs expériences et études scientifiques d’importance qui vous réconciliera avec vos tripes !

Conclusion

Il y a fort à parier que si vous vous nourrissez de façon correcte (cf. tous les articles liés à l’alimentation de developpement-physique.com, votre intestin est en bonne santé et vous rend service quotidiennement.

Si tel n’était pas le cas, revenez aux sources de l’alimentation et prêtez attention toute particulière aux messages que vous fait parvenir votre intestin.

Et vous, travaillez-vous en intelligence avec vos intestins ?

Régime d’avant les fêtes en 7 points 2 sur 2

Comme convenu et dans la continuité du précédent article, voici venu le temps de s’échiner quelque peu à la salle maintenant que nous avons bien préparé le terrain d’un point de vue nutritionnel !

On part toujours du principe que la récupération est au top (vous dormez suffisamment et n’êtes pas fatigué en vous réveillant le matin), la deuxième partie traite donc de l’activité physique de notre pratiquant en quête de physique « Lean » :

  1. Dans votre cuisine
  2. Dans votre salle de gym

Suivez ces quelques conseils pour vous préparer au mieux à profiter des fêtes sans remords ! Les conseils suivants sont classés par ordre d’importance (on ne change pas les bonnes pratiques).

Bien évidemment, il est recommandé de les suivre tous 🙂 comme d’habitude

Réduisez vos temps de récupération

Ce n’est pas nouveau, la réduction des temps de repos entre les séries contribue à augmenter la dette d’oxygène et donc la capacité du corps à brûler des calories plus longtemps alors même que la session est terminée. C’est un must.

Redoublez d’intensité

N’allez pas à la salle en dilettante. Jetez vos téléphones (a minima laissez-le au vestiaire pour une heure par jour ou vous vous entraînez). Donnez tout ce que vous avez, ne vous déplacez pas au Gym pour rien !

Ajoutez des sessions de kettlebell

La traditionnelle session de KB swing n’est pas à délaisser. Ajoutez une à deux sessions de KB swing de 15 minutes par semaine pour un surcroît d’activité non négligeable.

Pour les plus motivé, vous pourrez même essayer d’ajouter une ou deux sessions par semaine faisant suite à vos séances de musculation normales.

Faites de la natation

La natation est une activité éprouvante pour le corps. D’une part c’est physique mais en plus il faut se mettre en maillot de bain et donc le corps doit générer de la chaleur pour maintenir sa température. C’est une excellente activité pour brûler des calories !

Chercher l’activité physique

Votre club de sport a aussi des cours de fitness ? C’est le moment d’aller vous y amuser un peu après vos sessions de musculation. Avec un peu de chance vous pourriez même y prendre gout et/ou rencontrer des gens sympa (et plus si affinité avec encore un surcroît d’activité physique à la clé pour les meilleurs d’entre vous :)).

Augmentez vos charges

La traditionnelle recherche de la force vous permettra de recruter davantage de fibres et partant de brûler d’avantage de calories pendant la séance mais aussi après lorsqu’il s’agira de reconstruire tout cela !

Ne chauffez pas trop chez vous

Il fait froid, et c’est tant mieux ! couvrez-vous plus ou bougez-vous ! Vous avez des calories en trop sous forme de tissu adipeux il me semble 😉

Conclusion

La mise en place de la stratégie proposée par le précédent article aura préparé le terrain du corps afin que ce dernier soit disposé à bruler son gras pour contribuer à l’élévation de l’activité résultant de l’application des 7 conseils présents dans cet article.

En suivant l’approche complète, vous pourrez profiter de la fin d’année sans avoir peur de jeter en l’aire un an de travail acharné !

Mais attention, on revient dans le droit chemin dès le 1er janvier ! Pas de blague !

Et vous, quels sont vos conseils pour augmenter vos dépenses caloriques ?

Régime d’avant les fêtes en 7 points 1 sur 2

Parlons peu, parlons bien, parlons des choses qui fâchent. C’est le mois de décembre, le mois de novembre (le plus cafardeux) est derrière nous mais nous avons fait quelques écarts alimentaires pour nous aider à le traverser. Maintenant, l’hiver s’installe et nous avons besoin de réconfort pour braver le froid. Vous avez compris, la période est propice à la multiplication des écarts alimentaire !

En tout cas, c’est ce que j’ai observé pour ma part et il me semble que c’est le moment de donner un coup de vis sérieux pour préparer la période fatale des fêtes de fin d’année !

Partant du principe que la récupération est au top (vous dormez suffisamment et n’êtes pas fatigué en vous réveillant le matin), l’article est séparé en 2 patries pour traiter les deux autres piliers fondamentaux dont les batailles se déroulent respectivement :

  1. Dans votre cuisine
  2. Dans votre salle de gym

Suivez ces quelques conseils pour vous préparer au mieux à profiter des fêtes sans remords ! Les conseils suivants sont classés par ordre d’importance.

Bien évidemment, il est recommandé de les suivre tous 🙂

Supprimer les sucres simples

Encore une fois, c’est le point de départ du laisser-aller. Les douceurs sucrées sont absolument sans pitié pour votre santé et votre physique. Non seulement, elles créent une dépendance aussi forte que celle des opiacé (oui tout à fait, la drogue dure) mais en plus elles sont présentes partout et disponible pour une bouchée de pain (ironie). Et pourtant, c’est le premier aliment dont nous avons le moins besoin. Généralement, la lutte est perdue d’avance si vous avez des sources de sucres simples chez vous. Bazardez tout par-dessus bord, donnez tout cela à n’importe qui à qui cela fera plaisir, apportez vos gâteaux sucrés au boulot (mais n’en mangez plus !). Pâtisseries itou !

Remplacez ces petits plaisirs par un carré de chocolat noir à 70% par exemple (dur mais on s’y fait).

Augmenter les volumes d’eau

Vous buviez déjà 4 litres d’eau par jour ? Bien ! Passez à 5 ! L’eau c’est la vie, le froids dessèche la peau, buvez autant d’eau à température ambiante que possible. Cela vous fera patienter jusqu’au prochain repas et cela facilitera l’élimination des toxines de votre corps. Cela facilitera également l’élimination des protéines non consommées.

Augmenter les rations de protéines

Etant donné que vous allez manger moins de sucres (rapide comme lents, cf. point suivant) il va vous falloir trouver vos calories quelque part.

Dans un premier temps cela passera par une hausse de la contribution obligatoire des protéines dans votre ration alimentaire.

Supprimer le lait et le fromage

Vous buviez encore du lait ? Pas bien ! Au minimum, supprimez ce breuvage d’une autre époque et poison pour votre organisme. Vous ne pouvez pas demander l’impossible à votre corps et lui donner du carburant poison ! Supprimer également le fromage. Vous verrez que cette année en faisant cela, vous échapperez au traditionnel rhume !

J’en vois d’ici qui traine des pieds. Les yaourts restent autorisés dans la limite du raisonnable J

Augmenter les légumes

Nous y voilà ! Haricot verts, blancs, rouge, flageolets, allez-y de bon cœur ! Et même dès le matin sans problème.

Booster les apports en micronutriments

Ce n’est pas une période rigolote pour le corps. Ce ne sera pas non plus une partie de plaisir pour le mental alors boostez vos apports en vitamines et minéraux. D’abords dans la nourriture de base comme les abats et les fruits de mer et autre poissons ou alors dans les suppléments comme les levures.

N’hésitez pas non plus à taper dans le Berocca sous forme de cure renforcée !

Surveiller les apports en graisses et en sucres complexes

Assurez-vous de manger suffisamment de graisses pour contribuer à une balance énergétique correcte. Pour cela, mangez des œufs, et assaisonnez vos salades d’huiles naturelles à la noix, olive et autre.

Dans le même temps, méfiez-vous de ne pas apporter trop de sucres complexes sous forme de riz, pate et autre féculent. Réduisez d’ailleurs ces portion à la faveur des légumes et légumineuses.

Conclusion

En matière de serrage de vis alimentaire, il n’y a pas 36 solutions et il ne faut pas se leurrer, bien souvent c’est un peu douloureux. Mais la récompense ne se fera pas attendre bien longtemps et surtout ce vous permettra d’aborder la suite des hostilités de façon sereine (aussi sereine que possible en tout cas).

Une fois que vous aurez mis en œuvre ces 7 points dans voter cuisine pendant une semaine vous serez prêt à vous essayer aux 7 autres points dans votre Gymnase. Et là, c’est le succès assuré.

Tout est dit, passons aux choses sérieuses et à la mise en pratique sans faille. On compte sur vous et à la semaine prochaine pour la suite !

Et vous, quels sont vos conseils pour serrer les vis de votre régime alimentaire ?

Une histoire de cuiller

L’objet du billet du jour est assez incongru. Il s’agit pourtant d’une technique remarquable concernant l’alimentation. Dans la quête d’un meilleur physique, il nous appartient de trouver, tester, sélectionner, adopter puis délaissé les meilleurs outils du moment en fonction de nos objectifs à l’instant t.

Les outils peuvent être d’ordre matériel (poids, aliments, nutriments, etc.) ou conceptuels (méthodes, techniques, méthodologies, etc.)

Bien entendu, les deux types sont approchés sur développement-physique.com

Ici nous parlerons tout simplement d’un objet qui se trouve dans votre tiroir de cuisine : la cuiller

L’outil

La cuillère ne date pas d’hier. En effet elle fut utilisée dès la préhistoire pour manger des escargots, c’est d’ailleurs ce qui lui a donné son nom (cochleare). Source: Wikipédia).

Plus proche de nous, son utilisation est devenu une évidence (souvent pour de mauvaises raisons puisque c’est assez rare d’utiliser des cuillers pour manger des aliments à forte valeur ajoutée, soupes et bouillons mis à part).

La cuiller est bien souvent utilisée pour manger essentiellement des desserts et autre dangerosité de nos sociétés de consommation actuelles. Mais alors comment faire en sorte d’utiliser cet outil à notre avantage ?

Simplement en jouant sur la taille de la cuiller. Cuiller à soupe ou cuiller à café voire cuiller à sucre !

Ci-dessous une liste des avantages et inconvénients des 2 types :

Avantages de grosse cuiller

  • Permet de négocier rapidement un bol d’avoine sans avoir à y passer 20 minutes. Même chose pour les yaourts d’ailleurs.
  • Permet un apport plus rapide d’aliments pouvant être utile dans le cas d’une prise de masse. Le cerveau mettant plus de temps à envoyer son message de satiété que n’en met la cuiller pour apporter plus de calories, nécessaire à la construction de tissu musculaire.

Avantage de la petit cuiller

  • Laisse plus de temps au cerveau pour prendre conscience que l’état de satiété est atteint.
  • Permet de manger plus en nombre de cuiller mais toujours moins en terme de quantité. C’est idéal pour éviter la frustration des phases de contrôle calorique.

Si votre objectif est la prise de masse, vous pourrez avoir intérêt à graduellement passer de la petite cuiller à la cuiller à soupe pour vos repas (yaourts, avoine, céréales, voire desserts avec modération, etc.)

En revanche, si votre objectif est surtout de perdre du poids, utilisez prioritairement des cuillers à café (voire à sucre, modèle encore plus petit).

Cela n’a pas l’air de grand-chose comme ça mais c’est redoutablement efficace. C’est en partie en passant à la grosse cuillère (en donc en mangeant 2 fois plus d’aliments que précédemment avec la petite cuiller) que j’ai réussi à faire une bonne prise de masse digne de ce nom il y a quelques années.

Conclusion

Cet ustensile aussi banal que la cuiller peut rapidement devenir un allié dans la quête d’un physique répondant plus à nos attentes. Il suffit de prendre conscience de cela et choisir la taille de sa petit cuiller en conscience.

Essayer ces deux méthodes et vous m’en direz des nouvelles ! Résultats garantis après 2 semaines d’utilisation en moyenne.

Et vous, êtes-vous plutôt grosse cuiller ou petite cuiller ?

J’ai repris la protéine

Le post du jour vous est présenté sous forme de petite anecdote tout en dialogue pour contraster quelque peu avec la monotonie des articles un peu cartésien du site.

Nous y traiterons notamment de la question (toujours controversée – mais jamais totalement résolue non plus) des protéines.

Intrigue

Pierre et Jacques, deux bons amis fonteux de longue date, se retrouvent pour leur traditionnel brunch du dimanche midi (après leur séance de musculation bien évidemment, puisqu’ils lisent developpement-physique.com et qu’ils ont bien retenu leurs leçons).

Dialogue rapporté

Note : Les noms ont été changé afin de préserver l’anonymat des personnages de la scène et de mettre une petite touche française à ce web qui devient trop international à mon goût.

Pierre (en se servant des œufs brouillés avec un peu de jambon blanc) : Tu sais il faut que je te dise un truc Jacques.

Jacques (se servant de l’avoine avec un peu de yaourt à la vanille) : Oui Pierre, s’passe ?

Pierre : Tu sais à la salle je suis plutôt concentré entre mes séries mais de temps en temps j’en entends causer un peu à côté.

Jacques : Je te rassure tout va bien, continues ?

Pierre : La dernière fois les guguss parlaient de protéine et de poudre nonoz, tu vois de quoi il s’agit ?

Les compères s’attablent non loin du buffet, en fin stratèges qu’ils sont.

Jacques : Ouais c’est vieux comme le monde tout ça (silence).

Pierre : Et ?

Jacques : Tu sais moi ce que j’en pense c’est que si tu veux augmenter tes apports en protéines c’est pas si compliqué, il suffit de manger plus de jambon le matin, un œuf de plus le soir et d’augmenter ta ration de poulet le midi. Et tout ça sans aller acheter je ne sais quelle poudre faite on ne sais comment.

Pierre : T’es marrant toi, alors pourquoi t’en prend toi ?

Jacques : Bah, à chaque cas son traitement. Tu t’entraînes combien de fois par semaine ?

Pierre : 3 ou 4 fois

Jacques : Ok moi c’est 5 fois. Ajoute 4 séances de kettlebell et le fait que je fasse attention à mes apports calorique et tu comprendras que dans ce cas, une supplémentation raisonnable en poudre est ma foi utile.

Pierre : Vu sous cet angle…

Jacques : Mais avant toute chose, j’ai commencé par faire ce que je viens de te dire, à savoir : augmenter les rations de mes sources de protéine. Ce n’est qu’en dernier recours que j’ai pris des protéines.

Paul (le serveur) : Je peux débarrasser votre assiette monsieur ?

Pierre : Oui, merci

Paul (le serveur) : Je peux débarrasser votre assiette monsieur ?

Jacques : Non pas encore il me reste un peu de bacon à finir.

Pierre (pensif) : Hum, ce n’est pas con tout ça.

Jacques : Ce qui peut être pas mal non plus c’est de faire des cycles avec les apports de protéines. Par exemple tu décides que de telle date à telle date tu va prendre plus de protéine (alimentaire ou en poudre c’est à toi de voir), pour nourrir plus efficacement le corps. Le corps aime bien le changement de temps en temps. Mais surtout, il ne faut pas être 365 jours sur 365 avec ton pot de protéine dans ton sac.

Pierre : Je vois. Du coup je vais reprendre un peu de poulet.

Jacques : Ouais mon vieux, prends en plus qu’un peu !

Le mot de la fin

Ce petit dialogue fait un peu écho à une vidéo d’Elliot Hulse au sujet de la supplémentation en protéines. Les auteurs de developpement-physique.com n’ont pas une vision tranchée sur le sujet. On dira simplement, qu’à chaque cas ses spécificités mais à titre de ligne de conduite nous pourrions proposer la synthèse suivante :

  1. Activité sédentaire/entraînement de musculation 3 jours par semaine / alimentation normale : Supplémentation probablement inutile
  2. Activité sédentaire/entraînement de musculation 5 jours par semaine / alimentation normale : Supplémentation possiblement bénéfique
  3. Activité pénible et exigeante/entraînement de musculation 3 jours par semaine / alimentation normale : Supplémentation probablement utile
  4. Activité pénible et exigeante/entraînement de musculation 3 jours par semaine / alimentation réduite : Supplémentation utile
  5. Activité pénible et exigeante/entraînement de musculation 5 jours par semaine / alimentation réduite : Supplémentation probablement nécessaire

Evidemment, avant de commencer toute supplémentation, il faut déjà savoir ou on en est dans ses apports en macro, micro nutriment et calorie (ce qui est loin d’être le cas de la plupart de jeune gens qui achètent de la poudre en croyant que c’est un élixir de muscle). En parler à son médecin et/ou pharmacien ne peux pas non plus faire de mal.

Bonus

Bob le gangster : Il faut que je perde du poids sinon je vais me faire jeter par ma femme. Toi qui es un expert, qu’est-ce que je pourrais manger de moins gras qu’un sandwich ?

Ted le gangster  : C’est pas bien compliqué tu sais : Tu n’as qu’à manger que la moitié de ce même sandwich mon vieux.

Yaourt versus fromage blanc

Souvent dans les entretiens de coaching en nutrition, la question suivante revient sur le tapis :

Dois-je privilégier le yaourt ou plutôt le fromage blanc ?

L’objet du billet du jour est de faire la part des choses entre ces deux aliments de base.

La vraie question

En vérité, la seule vraie question qu’il faut se poser est plutôt de savoir si l’on souhaite intégrer des laitages dans notre plan alimentaire ou non.

Contrairement à ce que la majorité pense, il n’est pas nécessaire d’avoir des laitages dans son alimentation quotidienne.

Les sources de calcium et de protéines sont tout à fait trouvables dans d’autres aliments tels que les légumes, les pois et les viandes.

Pour couper court au débat, j’ai tendance à préconiser une consommation modérée voire exceptionnelle de laitages et déconseille vivement le lait.

Ceci étant dit, il est bien souvent difficile pour une personne de cesser tout apport en laitages du jour au lendemain (d’autant plus que les habitudes alimentaire en France font la part belle à ces produits). Alors du yaourt ou du fromage blanc à 0%, lequel doit-on privilégier ?

Comparatif rapide des valeurs nutritionnelles

Yaourt (Danone) Fromage blanc (0%)
Conditionnement 16*125g Pot d’1 kilo
Energie (pour 100g) 51 kcal 48 kcal
Protéines 3,7 7,3
Glucides 6,9 4,8
Dont sucres 6,9 4,8
Lipides 1,0 0

Le yaourt

En fait c’est essentiellement le conditionnement restrictif en pot qui est l’avantage principal du yaourt. En effet, il contient moins de protéine, plus de sucres et plus de graisses que le fromage blanc. Pas top a priori. Oui mais seulement voilà, un yaourt c’est un yaourt : Une fois qu’il est fini on sait exactement ce que l’on a absorbé comme nutriments, ce qui est assez important au final.

Par ailleurs, le yaourt se conserve très longtemps !

Le fromage blanc

D’une texture plus onctueuse, le fromage blanc possède plus de protéine et pas de graisse avec un apport plus faible en sucre, ce qui semble plutôt indiqué dans le cadre d’une alimentation modérée en calorie. Par ailleurs, l’onctuosité permet de faire des petites préparations assez rapidement qui ressemblent à des desserts corrects avec assez peu de cochonneries nutritionnelles à l’intérieur.

Le principal problème vient du conditionnement. Si l’on n’y prend pas garde, un pot d’un kilos de fromage blanc peut se faire descendre en deux repas… Même principe que le pot de glace devant la télé, un véritable piège. Méfiez-vous !

S’il semble que le lait soit un aliment qui ne fait plus du tout l’unanimité, les laitages restent encore épargné par les récentes polémiques. En résumé, on notera simplement que :

  • Le lait est un allergène puissant et très peu intéressant sur le plan nutritionnel
  • Les fromages sont trop riches en calorie pour être consommé sur une base régulière (mais peut figurer dans vos menus de manière exceptionnelle, par exemple une fois par semaine)
  • L’apport de calcium des laitages est plutôt controversé de nos jours
  • Les laitages du type yaourt ou fromage blanc, à la condition express qu’ils soient nature et/ou allégé restent valable sur le plan nutritionnel

Conclusion

Dans les deux cas, les laitages avec parcimonie sont des éléments qui peuvent être intégrés sans grand risques dans votre quotidien. Source de protéines, ils permettent d’accommoder vos autres aliments et de se faire des petits plaisir diététiques. Cela dit, attention à ne pas en abuser et comme d’habitude, tenir compte des réactions de votre corps à la prise de ces aliments.

Et vous, préférez-vous le yaourt ou le fromage blanc ?

Une idée de repas de Noël

On y est, c’est la période des fêtes avec ses traditionnels repas et autres joyeux marathons de tablée. Attention toutefois, il est important de ne pas se priver de ces bons moments tout en n’oubliant pas complètement nos objectifs de santé et de développement.

Un marathon digne de ce nom pendant les fêtes peut vous mettre sérieusement en difficulté dans votre quête d’un physique écorché ou tout simplement plus musculeux. Voyons comment vous pouvez limiter la casse.

Une idée de repas santé

Cela étant dit, il est tout à fait possible d’élaborer un repas simple et néanmoins festif (au moins pour Noël). Ci-dessous une proposition de votre serviteur :

  • En entrée : Saumons fumé en tranches avec du citron et de la salade (c’est un sans-faute diététique). Huitres, pour celles et ceux qui apprécient les fruits de mer. Les huitres sont aussi un bon apporteur de minéraux et protéines. Salade de carotte avec crevettes.Sortez des sentiers battus et ne proposez pas de foie gras 😉
  • En plat principal : La traditionnelle dinde de Noël est tout à fait indiquée. Cuite au four et éventuellement farcie de légumes, elle apportera son lot de protéines sans glucides et avec très peu de gras. Vous pourrez proposer une portion de marrons (pas plus que la grosseur d’une paume de main) et des haricots verts cuits à la vapeur (autant que souhaité pour ces derniers).
  • Passez votre tour sur les fromages (je n’ai pas dit que ça allait être facile non plus 🙂 !)
  • En dessert : Une part de bûche (ou plus suivant que vous vous êtes fait violence avant de passer à table cf. points suivants).

Quelques conseils supplémentaires

  • Limitez les papillotes et autre sucreries (marshmallow, pâte d’amande, fruits confits, biscuits sucrés, etc.) qui se mangent sans fin. Souvenez-vous que le sucre appelle le sucre (et ce quelle que soit la période de l’année ;)).
  • Ne grignotez pas entre les repas. C’est probablement le pire ecueil de cette période car il reste toujours des bonbons et autres sucreries à portée de main !
  • Buvez toujours beaucoup d’eau ! Ce simple conseil vaut de l’or !
  • Faites-vous quand même un peu plaisir sur les desserts pendant vos principaux repas (veillée de Noël, Noël et Saint Sylvestre).

Le must

Comme vous lisez developpement-physqiue.com depuis bien longtemps, vous avez sans doute déjà quelques astuces pour limiter les effets néfastes du marathon des fêtes sur votre silhouette. Ci-dessous quelques-unes :

  • Si vous êtes l’hôte, efforcez-vous d’orienter vos préparations vers des plats santés avec quelques à côté de rigueur (genre bûche de Noël ou il ne faut surtout pas essayer de prendre des produits allégés sous peine de contrarier furieusement les gourmands !)
  • Considérez que vous êtes dans la configuration d’un ACE (All you Can Eat) et que ce faisant, les braves conseils de ce site sur le sujet s’appliquent particulièrement bien dans cette configuration des fêtes de fin d’année.
  • Si possible, essayez de rester actif pendant la période des fêtes en continuant de pratiquer régulièrement vos activités physiques. Idéalement, effectuez vos séances avant les repas gargantuesques car ce faisant, les quantités d’énergie ingérées seront rapidement utilisées par votre système.

Conclusion

Pour les fêtes de fin d’année il est possible de lier l’utile à l’agréable. Mettez en œuvre les différents conseils ci-dessus et élaborez un repas aussi équilibré que possible pour ne frustrer personne et surtout pas vous !

Sur ce, bonnes fêtes de fin d’année à toutes et à tous !

Et vous qu’allez-vous préparer pour votre repas de Noël sous l’auspice de la santé et du développement physique ?

La règle d’or pour une perte de poids durable

Dans quasiment toutes les disciplines, on veut faire croire qu’il suffit de suivre des règles aveuglément pour réussir. La discipline de l’entretien et du développement physique ne fait pas exception. Cela étant, après des années d’expériences avec les clients, je me suis convaincu qu’en matière de perte de poids, il existe bel et bien une règle d’or.

Attention toutefois, il ne s’agit pas d’une recette miracle ou autre guide infaillible mais la règle part d’un simple constat. Toutes les personnes qui ont suivi cette règle ont vu leur quête couronnée de succès. Je vous propose sans plus attendre de la découvrir :

La règle d’or

La règle d’or est, comme beaucoup de choses sur developpement-physique, très simple à énoncer mais bien plus complexe à mettre en œuvre :

Pour perdre du poids durablement, vous devez apprendre à vous nourrir correctement.

Voilà, vous savez tout 🙂 Il existe des variantes : Pour gagner du poids maigre (i.e ; du muscle), vous devez apprendre à vous nourrir correctement.

Une chose est certaine, c’est qu’en choisissant de ne pas suivre cette règle, vous limitez votre potentiel. A l’inverse, en en faisant un pré requis, vous jetez les bases d’un développement physique durable, soutenable est sain.

Force est de constater que très peu de gens savent de quoi il en retourne lorsque l’on parle d’alimentation et de nourriture.

  • La majorité ne connait aucun principe rudimentaire de l’art de l’alimentation.
  • Une petite partie s’y intéresse mais sans jamais creuser le sujet suffisamment.
  • Enfin une autre partie encore plus réduite s’attache à comprendre les tenant et le aboutissants de cet art. Ce sont eux qui réussissent leur transformation physique et qui sont capable d’améliorer radicalement leur vie quotidienne grace à un effort soutenu d’appentissage.

En effet, les découvertes en alimentation sont quotidiennes et, malheureusement, quelque fois contradictoires. Par conséquent, le pratiquant ne sait plus à quel saint se vouer.

Par exemple, les végétariens ont fait le lien entre une alimentation saine (et ce n’est pas seulement grâce au retrait des produits animaux) et une longévité accrue.

Les culturistes naturels eux ont fait le lien entre une alimentation adaptée et un développement physique optimal tant d’un point de vue prise de muscle que du point de vue de la limitation des tissus adipeux.

Bien que l’activité physique soit extrêmement importante pour votre santé et votre moral, elle n’est qu’un catalyseur lorsqu’il s’agit de perdre du poids. Bien évidemment, la combinaison des deux est la meilleure façon d’atteindre vos objectifs, mais la maîtrise de votre nourriture en demeure le point clé.

Ne faites pas l’erreur de croire que vous êtes comme certains pratiquants génétiquement doués qui peuvent se permettre de manger n’importe quoi et qui sont capables de conserver un physique très respectable en terme de masse musculaire et de ratio de masse grasse. Partez plutôt du principe que s’ils prenaient la peine de maîtriser leur alimentation, leurs progrès seraient décuplés !

Comment se nourrir correctement ?

Voici les grandes idées à suivre pour aller dans la bonne direction :

  • Prendre conscience de ses habitudes alimentaires : Bien souvent, on n’est pas capable de faire le lien entre ce que l’on mange et notre état de santé alors qu’ils sont directement liés. En prenant garde à ce que vous mangez, vous pourrez détecter les aliments auxquels votre corps régissent bien et tous les autres.
  • Lire des études scientifique en étant très vigilant sur la façon dont sont conduites les expérimentations (les résultats sont souvent biaisés) : Les études scientifiques sont délicates à interpréter. Elles permettent néanmoins de se tenir informé des nouveautés. Seulement, ces mêmes études sont trop souvent financées par les groupes agroalimentaires ou pharmaceutiques qui ont un intérêt économique à dissimuler la vérité. La vigilance est donc de mise.
  • Expérimenter par soi-même (probablement le meilleur conseil) : Vous voulez avoir le cœur net de l’effet de l’alimentation végétarienne sur votre physique et vos performances ? Lancez-vous pour une période d’un mois et notez vos résultats est observation. Vous verrez que c’est de cette façon qu’on en apprend et que l’on retient le plus !
  • Se faire suivre par un coach en nutrition : Le coach en nutrition est un raccourci. Engager un coach vous permet de tirer parti de son expérience et de celles de tous ses précédents clients réunit tout en évitant les erreurs les plus dommageables. Par ailleurs, le coach sera là pour répondre à vos questions et faire en sorte que votre motivation ne faiblisse pas. C’est une aide inestimable. Je propose mes service en tant que coache en nutrition. N’hésitez pas à me contacter pour des conseils peronalisés!
  • Lire developpement-physique.com régulièrement 🙂

Conclusion

Trop souvent, on pense que les personne qui réussissent ont quelque chose que nous n’avons pas et qu’il nous semble impossible d’identifier et encore moins de posséder. S’il est indéniable que certains paramètres échappent à notre contrôle, par exemple le facteur génétique, il ne faut jamais oublier que pléthore d’autres sont sous votre contrôle. Parmi ceux-ci se trouve le paramètre de l’alimentation, qui est le plus important pour développer votre physique et particulier perdre du poids durablement.

Atteindre et conserver son poids de forme n’est pas beaucoup plus difficile que de se laisser aller à accumuler les kilos superflus. La différence c’est que dans le premier cas vous aurez une bonne estime de vous en bonus, ce qui est un avantage inestimable dans votre vie de tous les jours.

Alors faites-vous la promesse de suivre cette règle d’or !

Et vous, où en êtes-vous dans la maîtrise de votre alimentation ?

Une histoire de statistiques alimentaires

Dans le post du jour, je me propose de vous faire découvrir un site internet fort intéressant à propos des statistiques sur la consommation et la production de denrées alimentaires au niveau mondial : www.planetoscope.com

Sur www.developpement-physique.com nous nous intéressons en particulier aux différents vecteurs de mieux être et de développement physique au premier rang duquel se trouve l’alimentation.

Des statistiques nationales et mondiales sont disponibles sur www.planetoscope.com dans la rubrique « Agriculture et alimentation ».

Notes: Beaucoup d’autres éléments sont supervisés et monitorés, tel que la consommation de matières diverses (eau, papier, matières premières, etc.) mais aussi l’état général de l’environnement (L’eau et les océans, les sols, les forêts, etc)

Revues des rubriques du menu « Agriculture et alimentation »

Passons en revue quelques rubriques du menu qui vous intéresse au premier chef car il vous donnera de nombreuses informations sur les habitudes alimentaires de la population française en temps réel. Cela vous permettra de vous situer par rapport à vos contemporain et d’en apprendre toujours plus sur l’alimentation et la nutrition.

Elevage et viande

On commence par la rubrique la plus macabre car l’on parle assez rapidement d’abattage de bêtes. On y apprend par exemple que « 1 090 animaux par seconde, soit 60 milliards d’animaux » sont abattus en vue d’être consommé. Ce chiffre n’était « que » de 44 milliards en 1950. Nous ne prenons pas la bonne direction (+30% en un demi-siècle)…

On apprend aussi qu’« au printemps, une vache de 700 kilos peut manger jusqu’à 700 kilos par jour », c’est énorme.

Autre indicateur intéressant, « en 2010, plus de 14 milliards d’œufs ont été produits en France, soit plus de 450oeufs chaque seconde ».

Céréales

Dans cette rubrique, les principales données liées aux céréales sont affichées.

On y apprend que l’ »on consomme 14 000 kilos de riz chaque seconde dans le monde, soit 447 millions de tonnes par ans ». On y apprend aussi que la «production de riz est de 15 000 kilos par seconde, soit 459,7 millions de tonnes par ans ». Mais ou passe la différence ? Elle est stockée ? 

Pêche et poissons

On se penche rarement sur les statistiques issues de monde de la pêche (en tout cas pour ma part). Dans cette rubrique, on traite de la culture des huitres, de la pêche de cabillaud et aussi de la consommation de méduse par les japonais !

On y apprend que « 30 milliards de kilos de poissons morts sont rejetés sans être commercialisé ni consommées ». Comparées aux « 154 millions de tonnes de poissons péchés par an », cela représente une productivité plutôt médiocre aux frais de la Nature…

Fruits et légumes

Dans cette rubrique on peut prendre conscience de la production mondiale de nombreux fruits et légumes depuis le 1 janvier de cette année.

On y apprend par exemple que l’«on produit environ 2 105 kilos d’orange chaque seconde dans le monde, soit 66,4 millions de tonnes par an dont 30 millions pour être transformées en jus d’orange. »  La moitié est donc destinée à alimenter l’industrie de jus d’orange alors même que la consommation de ce produit apporte plus d’inconvénients que d’avantages…

Restauration

Rubrique intéressante car permettant de se situer par rapport aux habitudes des ménages français en terme de sorties au restaurant.

On y apprend que « la dépense en restauration d’un ménage français est en moyenne de 1 320 € par an, soit 22,3% de son budget alimentaire total ».

Quoi qu’on en dise, le français ne semble pas trop à plaindre !

Produits laitiers

Dédié aux produits lactés, cette rubrique propose des indicateurs sur la consommation et la production de fromage, laits et autres dérivés de l’industrie du lait.

On y apprend par exemple que « chaque seconde ce sont 42 kilos de yaourt qui sont consommés en France ». Les yaourts sont les moins mauvais des produits laitiers à mon avis. Ils restent tolérés par la grande majorité de la population mais ne doivent pas être surconsommés pour autant.

Alimentation et nutrition

Dans cette rubrique on trouve des indicateurs assez variés mais plutôt parlants pour le consommateur moyen.

On y apprend que chaque seconde, « ce sont 320 baguettes de pain qui sont consommées et produites en France, soit 10 milliards par an ». Quand on sait que le pain de nos jours n’est plus un bon aliment, cela peut expliquer la recrudescence de diabète par exemple.

On y apprend aussi que « plus de 41 200 kilos de nourriture sont jetés chaque seconde dans le monde ». Ce qui laisse beaucoup de marge pour nous améliorer sur cet indicateur et tous les niveaux, en commençant par chaque citoyen. Ne gaspillez plus !

Bonus

Des chiffres clés sont proposés dans la colonne de gauche du site afin de prendre conscience de certains impacts de nos habitudes sur notre environnement.

Par exemple, saviez-vous qu’un citoyen d’un pays développé consomme en moyenne 156 kilos de lait par an contre seulement 38 pour un citoyen d’un pays en voie de développement ?

Et si le corps humains vous intéresse, et je sais que c’est le cas, faite un tour sur la page « Le corps humain » pour apprendre quelques statistiques épatantes sur vous vous-même !

  • 2 000 kilos : Pression maximale à laquelle l’ossature peut résister (vous pouvez charger vos barres sans souci pour votre squelette :))
  • 160 000 kilomètres : Longueur totale de tous les vaisseaux sanguins d’un corps humain, soit 4 fois le tour de la Terre !
  • Nous dormons environs 1/3 de notre vie, soit 202 300 heures ou un peu plus de 23ans. Pendant ce temps dans les bras de Morphée, nous effectuons 128 000 rêves ou cauchemars !

Je vous invite à découvrir et à vous référer de temps en temps à ces informations pratiques et utiles.

Et vous, êtes-vous conscient de l’impact de votre alimentation sur l’environnement ?

De l’utilité de la table des calories

Aujourd’hui j’aimerai vous présenter un autre outil pour vous permettre de maîtriser le développement de votre corps et celui de votre famille (si vous êtes le cuistot attitré !).

Définition

Une table des calories est un tableau dans lequel sont répertorié un nombre plus ou moins grand d’aliments dans différents états (brut, cuisinés, cuits, décortiqué, etc) et pour lesquels sont proposé d’une part les caolires, d’autre part la teneur en protéines, glucides et lipides pour 100grammes ou 100 ml de produit.

Utilité

« La connaissance de la valeur nutritive des aliments doit être considérée dorénavant comme un élément essentiel de la culture générale » disait le Professeur Hugues Gounelle de Pontanel.

La principale utilité d’une telle table, c’est que sa simple lecture vous permettra de vous familiariser avec la composition de nombreux aliments et augmentera vos connaissances en nutrition. Ce faisant, vous serez plus à même de faire les bons choix au moment de préparer à manger ou de passer commande au restaurant !

Enfin, vous pourrez vous reporter rapidement à un aliment ou une classe d’aliment pour confirmer ou infirmer vos suspicions.

Cette table vous permet également de comparer assez rapidement deux aliments entre eux. Par exemple le mouton ou l’agneau ont exactement la même composition à savoir 225 calories pour 100 grammes de produit (sans sauce) dont 18 gr de protéines et 17 grammes de lipides. Et oui ces deux viandes ne sont pas vos amies si vous voulez perdre du poids…

Recommandation

Après avoir fait de longue recherches sur internet et en librairie, mon choix s’est porté naturellement sur un petit livre proposant un listing de plus de 3500 aliments (4000 dans sa dernière version) et boissons couvrant tout ce que le citoyen français peut trouver à se mettre sous la dent :

“Table des calories” du Docteur Philippe Dorosz aux éditions Maloine.

La forme de petit manuel permet de l’avoir à portée de main dans sa cuisine pour chercher « en live » des substituts moins gras ou plus protéinés à des aliments communs.

L’auteur, le Dr Philippe Dorosz fait une petite revue des principes fondamentaux de l’alimentation et de différents régimes plus ou moins bon pour la santé en guise de préface de la table qui nous intéresse.

C’est un must.

Et vous disposez vous d’une table des calories quelques part à portée de main ?