MIX

Nombre d’entre nous allons religieusement à la salle jour après jour pour développer notre physique. A tel point que quelquesfois, il faut remettre en question cette habitude et bien s’assurer que nous tirons le meilleur de nos séances.

Profitons du post de cette semaine pour découvrir un concept formidable qui nous permettra d’être sûr de toujours progresser et de ne plus jamais foirer une séance de musculation !

Contexte

La pratique de la musculation n’est pas facile, personne dans la salle pour me contre dire. Si bien que parfois, même avec toute la bonne volonté du monde et une discipline de fer, on a du mal à progresser.

Le constat que je fais est que dès lors que l’on commence à diversifier son entraînement et à spécialiser sa routine, on commence à diluer les efforts…

Entendons-nous bien, je ne suis pas en train de remettre en cause ce type d’entraînement (je suis moi-même un adepte) mais il faut bien avoir à l’esprit que plus on fait du volume plus il est difficile de choquer intensément le muscle (ce n’est toutefois pas impossible mais pas à la portée de tous).

Aussi, voici une arme fatale pour ne pas tomber dans le travers du volume pour le volume : J’ai nommé le MIX, pour Most Important eXercise.

Bien sûr, en anglais ça claque un peu plus que « ELPI » (Exercice Le Plus Important)… 🙂

Le MIX, kesako

Le concept est on ne peut plus simple finalement mais il fallait y penser. Il s’agit, pour chaque muscle travaillé dans une séance, d’identifier l’exercice de base le plus important à vos yeux et de faire tout ce qui est possible pour surperformer sur cet exercice par rapport à la dernière séance. Voilà c’est tout 🙂

Il ne faut pas se leurrer, lorsque l’on arrive à des séances de 60 minutes pour un groupe musculaire, il est impossible de surperformer dans tous et chacun des exercices.

Aussi, en focalisant sur un exercice qui sera fait dès le début de la séance avec des charges lourdes, on essaiera de faire :

  • soit plus de répétitions
  • soit de prendre plus lourd que la fois précédente

Les autres exercices pourront être vus comme des compléments.

Le MIX en pratique

Ok mais dans la pratique comment diable cela fonctionne t il ?

Prenons le cas d’une split routine sur 5 jours avec un groupe par jour. Ci-dessous une liste des exercices à surperformer pour s’assurer une progression continue :

  • Jour 1 – Dos : MIX Tractions ou rowing barre ou soulevé de terre
  • Jour 2 – Pectoraux : MIX Développé couché ou développé incliné
  • Jour 3 – Jambes : MIX Squat ou presse
  • Jour 4 – Epaules : MIX Clean & Press ou développé épaule
  • Jour 5 – Bras : MIX Dips ou Skull crucher pour les triceps, tractions supination ou curl haltères pour les biceps

SI vous avez bien compris le principe, lorsque vous ferez une séance Pec/biceps vous aurez 2 MIX à réaliser (Développé couché + traction supination par exemple), vous me suivez ?

Grâce à ce conseil, vous ne devriez plus foirer de séance puisqu’à chacune d’entre elle, vous progresserez sur au moins un exercice.

Dans le cas contraire, il est peut-être temps de prendre du repos ou de vous fouetter un peu plus pendant vos séances !

A bon entendeur !

Et vous, quel est votre MIX lorsque vous allez à la salle de gym ?

Prise de masse sans argent

Prendre soin de son corps représente un certain coût. Les postes de dépenses se succèdent et laissent généralement une ardoise qui peut parfois s’avérer lourde à porter :

  • License pour le club de sport,
  • Séances à la piscine,
  • Manger bio,
  • Choisir des aliments sains et bons pour la santé,
  • Etc…

C’est encore plus vrai lorsque l’on retrouve à vouloir effectuer une prise de masse qui implique nécessairement un apport calorique démultiplié.

C’est pourquoi developpement-physique.com vous propose deux recettes exceptionnelles dans leur rapport prix versus apports nutritionnels et caloriques. Laissez-vous tenter lors de votre prochaine prise de masse.

Bien entendu, ces plats sont à consommer rapidement après une éprouvante et douloureuse séance au temple de la fonte.

Recette numéro 1

Ingrédients :

  • Une boîte de corned-beef
  • 250 grammes de pommes de terre
  • 2 œufs

Préparation :

  • Laver les pommes de terre et les couper en rondelles de 3 millimètres d’épaisseur.
  • Les plonger dans une casserole d’eau et les faire cuire jusqu’à ce qu’elles soient tendres (il suffit de les piquer régulièrement avec un couteau pour s’en assurer).
  • Ouvrir la boîte de corned beef et verser le contenu dans une poêle sans ajouter de matière grasse.
  • Faire fondre le bloc de viande de façon à le répartir sur toute la surface de la poêle. Laisser cuire à feu moyen 5 minutes.
  • Disposer le corned beef précuit dans un plat et mettre les rondelles de pommes de terre à la place dans la poêle. Laisser cuire 1 minute puis les retourner. Laisser cuire une minute puis verser le contenu de l’assiette de corned beef sur les pommes de terre ainsi cuites.
  • Laisser cuire à feu doux pendant 5 minutes.
  • Finalement, casser Les œufs sur le tout. Une fois que le blanc des œufs est cuit, le plat est prêt à être dégusté. Bon appétit !

Recette nnuméro 2

Ingrédients :

  • 100g de riz (complet de préférence)
  • 50g de haricots rouges ou noirs (en boîte)
  • 2 œufs
  • Levure diététique

Préparation :

  • Faire cuire 100 grammes de riz dans une casserole.
  • Ouvrir la boîte de haricots rouges ou noirs et les mélanger dans un plat avec le riz cuit.
  • Brouiller les 2 œufs dans une poêle et les réduire en petit morceaux.
  • Incorporer les œufs brouillés ainsi cuisinés au riz et aux haricots.
  • Mélanger le tout et saupoudrer de levure diététique. Bon appétit !

Conclusion

Dame Nature a tout prévu. Avec ces simples recettes, vous n’avez plus d’excuse pour ne pas progresser dans votre prise de masse !

Cela étant, il en existe bien d’autres. Faisons confiance à l’imagination et à la créativité des lecteurs de developpement-physique.com.

Et vous, quelles sont vos recettes miracles bon marché lors de vos prises de masse ?

Pratiquer la copie intelligente

Chacun sa route, chacun son chemin en matière de développement physique. Tant sur le plan de l’alimentation que sur le plan de l’entraînement, le plus souvent nous commençons en nous inspirant de ce que font les autres.

Et c’est un excellent départ, à condition de bien savoir ce que l’on fait et de connaître les limites de la copie de systèmes

Contexte

Vous commencez la musculation, vous allez forcément être admiratif du ou des gars les plus gros de la salle. Seulement voilà, vous ne savez rien de ces Golgoths. Ni d’où ils viennent en terme de développement physique, ni ce qu’ils mangent en dehors de la salle, ni même s’ils ont jamais vraiment mis en œuvre une seule fois le plan d’entraînement qu’ils vous donnent !

On ne saura jamais vraiment ce que vaut un programme si l’on ne connaît pas tous les autres paramètres du système qui sont utilisés en connivence avec l’entraînement.

Dans l’idéal, il faudrait pouvoir vivre avec la personne qui vous donne son programme pendant au moins une ou deux semaines afin de bien prendre conscience de tous ces paramètres.

Garder un esprit critique

En toute rigueur, un programme de musculation ne vaut pas grand chose en tant que tel. Il est absolument nécessaire de connaître une multitude de paramètres qui peuvent influencer ou même être déterminant dans la réussite ou l’échec d’un programme. Nous en citerons quelques un :

  • Le métier du pratiquant (la pénibilité physique et mentale de son travail) : Un employé de bureau qui s’économise en étant assis 8h par jours n’aura pas la même façon d’appréhender un entraînement qu’un élageur par exemple.
  • Son alimentation au quotidien : Honnêtement, à part les lecteurs de developpement-physique.com, qui est vraiment capable de faire l’historique de ce qu’il a mangé sur les 7 jours précédents? Si on pas les mêmes apports, il y a de fortes chances que cela entre en jeu de façon considérable lorsque l’on est au temple.
  • La façon dont il se repose : Là encore, on ne sait pas donner la qualité et la quantité de sommeil et de repos (sieste y compris) que requiert le programme tel que dispensé.
  • Ses acquis en matière de développement physique : C’est peut-être le point le plus important. On en est arrivé là ou nous en sommes gràce à l’accumulation d’expérience et le fruits d’efforts et de mise en oeuvre d’autres systèmes. Ne pas tenir compte de cela, c’est aller droit dans le mur. Pour certains, tout a commencé par le powerlifting. Pour d’autre c’était du crossfit, pour d’autre simplement une activité physique pour perdre du poids. Autant d’horizons différents dont il faut tenir compte pour juger de la pertinence d’un système.
  • Les autres activités sportives pratiquées en complément : Pour beaucoup, la musculation est un moyen e rendre le corps plus fort, pour mieux performer dans une autre discipline. Il est important de savoir si le programme est la seule activité ou s’il n’ya pas quelques extra (2 ou 3 cours de dance, des marche à pied régulières le weekend, etc)

Le développement physique n’est que le résultat de la mise en place d’un système complet et complexe dont l’entraînement n’est qu’une partie. Il conviendra de toujours mettre l’entraînement d’une personne en perspective de tous ces autres facteurs d’influence.

Cela étant dit, la meilleure de façon de savoir si un plan d’entraînement est valable à un instant t pour vous, c’est de le tester sur 4 à 6 semaines minimum, toutes choses égales par ailleurs.

Vous verrez alors dans quelles mesure vous pouvez retenir ou rejeter les quelques principes utilisé dans le programme copié.

Conclusion

Le but de ce post est de bien vous faire comprendre qu’il faut rester vigilant lors que l’on reçoit des conseils (de tout types) et prendre en compte le reste du paysage et pas seulement le petit bout de papier tendu ou sont griffonés quelques exercices et des séries/reps avec temps de repos…

Il est nécessaire de s’inspirer de ce que font les autres mais il faut toujours s’assurer de bien avoir toutes les cartes en main lorsqu’on décide de le faire.

Le développement physique (mais pas seulement) est tel que chacun aura sa propre voie à trouver qui ne sera rien d’autre qu’une combinaison de tout ce que le pratiquant aura vu et/ou vécu.

A mesure que l’expérience viendra, la capacité à éliminer les schémas inefficaces et à les remplacer par ceux qui ont porté leurs fruits permettra de trouver un équilibre soutenable de développement qui vous accompagnera à toutes les étapes de votre chemin.

Et vous, avez-vous déjà suivi aveuglément une routine d’entraînement et/ou d’alimentation ? Pour quels résultats ?

Combattre le surentraînement

La bête noire de tout bon sportif, l’écueil le plus dommageable, n’est autre que le surentraînement. C’est particulièrement vrai dans les disciplines qui dégradent massivement du tissu musculaire comme les sports de force (musculation, gymnastique, rugby, aviron, etc).

Nous verrons dans ce post les facteurs qui favorisent la survenue du surentraînement, pour quoi vous devez l’éviter et surtout comment en sortir pratiquement.

Contexte

En feuilletant les revues de culturisme, on trouve ça et là quelques articles relatifs au surentraînement. Mais d’abord qu’est-ce que c’est que ce mal ?

Le surentraînement est un état dans lequel le sportif peut se retrouver lorsqu’il n’équilibre pas correctement d’un côté les efforts qu’il demande à sa structure corporelle et de l’autre le repos, l’alimentation et les techniques de récupération.

Pour faire simple, une fois dans un état de surentraînement, le pratiquant dégrade plus de tissus musculaire qu’il ‘est capable d’en générer, ce qui est tout à fait paradoxal et absolument à éviter.

Problème

Tous les pratiquants expérimentés trainant dans les salles de musculation depuis quelques années vous le diront :

Méfiez-vous du surentraînement. En musculation, le mieux est l’ennemi du bien !

Dans la plupart des autres sports plus techniques il est plus difficile de tomber dans l’écueil du surentraînement car l’objectif de la pratique est justement d’arriver à réaliser l’activité physique en mobilisant le moins possible ses muscles. Cela passe par la répétition des mouvements et le perfectionnement de la technique. C’est ainsi que par exemple, les tennismen sont capables d’enchaîner les matchs assez long sans se retrouver dans un état d’épuisement physique total.

En revanche, en musculation, l’objectif est de dégrader aussi efficacement que possible du tissu musculaire pour le forcer à grossir. En maximisant les cycles de destruction / reconstruction, il devient possible de générer de l’hypertrophie ; du moins jusqu’à ce que la destruction devienne supérieure à la reconstruction.

Si cela devrait arriver voici les symptômes que vous devriez ressentir qui vous indiqueront que le surentraînement guette :

  • Fatigue générale
  • Difficultés d’endormissement
  • Troubles du sommeil
  • Perte d’appétit
  • Perte de force
  • Irritabilité
  • Difficulté de concentration

Si vous reconnaissez 3 de ces symptômes simultanément, voici ce qu’il serait bon de faire pour enrayer le processus

Solution

D’une façon assez logique, le premier conseil serait de prendre du repos. Par repos, on entend arrêt de toute activité sportive intense (voire non intense dans les cas les plus graves) pendant une semaine minimum. C’est l’idéal.

Il faut considérer le surentraînement comme une blessure profonde du corps tout entier. De la même façon que vous ne squatteriez pas avec un fémur fracturé, il est hasardeux de continuer de s’entraîner en état en état de surentraînement. Mais cette blessure est d’autant plus pernicieuse qu’elle ne nous empêche pas a priori de continuer à nous entraîner… et c’est là où le bât blesse.

Cela dit, j’ai moi aussi mal à appliquer cette règle élémentaire (et c’est probablement pour cela que je ne suis pas aussi fort que je devrais l’être).

Aussi, voici d’autres pistes à considérer si vous ne pouvez pas vous résoudre à passer une semaine sans aller suer à la salle :

  • Allonger ses nuits en les faisant passer de 8h à 9 ou 10h.
  • Manger davantage, en proportion égale. Il semble aussi que la prise de graisse facilitera la récupération car c’est souvent un élément qui est rare dans la diète des culturistes.
  • Faire des siestes. Idéalement après sa séance de musculation si vous ne travaillez pas.
  • Arrêter toute techniques d’élévation d’intensité (drop set, séries géantes, etc)
  • Fréquentez le gym moins souvent
  • Essayez une autre activité moins soutenue (natation, course à pied, vélo) à la place d’une de vos séances de musculation
  • Ayez recours aux suppléments. Prendre un peu de protéine pour aider le corps à récupérer est une sage décision. Par ailleurs, considérez également de faire une petite cure de vitamines.

Si, en appliquant ces conseil, le surentrainement persistait, il n’y aura pas d’autre solution que de prendre une semaine de vacances complète hors de votre Gym préféré. Espérons que vous n’en arriverez jamais là !

Conclusion

Il est très délicat de connaître suffisamment son corps pour savoir jusqu’ou on peut le pousser sans qu’il ne se rebelle et ne se mette à se protéger en envoyant des signaux de surentraînement.

Une très bonne façon de maximiser son développement physique est donc de savoir identifier rapidement les phases de surentraînement afin de pouvoir les éviter et/ou les guérir.

Plus vous restez à l’écart de cette zone plus rapide sera votre transformation !

Et vous, quelle stratégie adoptez-vous lorsque vos performances déclinent  et/ou que vous subissez une baisse de tonus ?

Article sponsorisé – Pourquoi utiliser un booster de testostérone

La testostérone est une hormone humaine plutôt bien connue du grand publique. Elle est naturellement produite par le corps tant chez l’homme que chez la femme, la différence réside dans la quantité produite, puisque les hommes en produisent bien plus que les femmes.

La testostérone joue un rôle important dans le développement physique et en particulier sur le développement de masse maigre.

Pour la petite histoire, l’homme produirait jusqu’à 20 fois plus de testostérone que la femme, ce qui explique pourquoi les femmes normalement constituées ne peuvent généralement pas développer leur masse musculaire de façon à atteindre un niveau proche de celui des hommes.

Cela étant dit, à l’intérieur même du groupe des hommes, tous ne sont pas égaux quant à leur production de testostérone et à la sensibilité de leur structure à cette dernière. En d’autres termes, certains hommes produisent naturellement plus de testostérone que d’autres.

Des difficultés à prendre de la masse ?

Dans la majorité des cas, les pratiquants qui peinent à développer de la masse maigre peuvent être classé en 3 catégories :

  • Un manque de masse maigre dû à une alimentation faible en protéines  et inadaptée
  • Un manque de masse maigre dû à un manque de sommeil et/ou de récupération
  • Un manque de masse maigre dû à une routine inadaptée (poids trop légers, trop de cardio, etc.)

Bien que ces 3 piliers doivent être soigneusement pris en compte, il faut bien être conscient que la testostérone facilite la transformation de protéines en muscles.

Dans cette étude, par exemple, la testostérone a aidé à synthétiser jusqu’à 27% de masse musculaire supplémentaire à partir de protéines. En gros, toute chose égale par ailleurs, celui qui dispose de plus de testostérone a un pouvoir de développement 1/3 supérieur à la moyenne. Ce qui n’est pas négligeable.

Inversement, si le taux de testostérone sanguin est faible une partie plus ou moins importante des protéines ingérées ne sera pas exploitée à leur juste valeur par les structures du corps.

Ainsi donc, lorsque l’on s’est assuré que les trois piliers étaient correctement mis en place et que les gains ne sont toujours pas au rendez-vous, le hic réside peut-être bien dans le manque de testostérone.

Stéroïdes vs Booster naturel

Dans quasiment toutes les salles de musculation, on tombe sur quelques spécimens intéressants puisqu’ils ont réussi à développer des bras comme nos cuisses.

Pour une partie, la probabilité pour qu’ils prennent ou qu’ils aient pris des substances illicites est assez élevée.

Pour d’autres, ils sont effectivement génétiquement dotés et ont travaillé dur (pas toujours correctement, mais c’est un autre débat) pour en arriver là.

Et puis il y a aussi ceux qui ont utilisé des techniques naturelles pour optimiser leurs niveaux hormonaux.

Inutile de digresser sur les dangers de la prise de stéroïdes et le fait que cela soit en contradiction même avec l’esprit du culturisme originel et du développement physique. Le lecteur assidu de developpement-physique.com le sais mieux que quiconque.

Les boosters naturels de testostérone peuvent être une option valable pour augmenter naturellement ses niveaux de testostérone, et ce, en toute sécurité car c’est bien le corps lui-même qui produira son hormone en osmose avec tous les autres mécanismes physiologiques.

Le résultat ne sera certes pas comparable avec une prise de produit stéroïdien mais la différence sera tout de même intéressante surtout si les niveaux de départ sont plus bas que la normale (dû à un épuisement, un surentrainement ou autre).

Parmi le grand nombre de boosters naturels de testostérone qu’il existe sur le marché, TestoFuel s’avère être un choix judicieux car il se focalise également sur des nutriments qui aideront à la production de testostérone mais pas uniquement. En effet, Testofuel contient de grandes quantités de vitamine D et d’acide aspartique D (qui sont les 2 ingrédients naturels connus pour augmenter la testostérone).

Autres bénéfices liés à un taux de testostérone élevé

Petit bonus : En plus d’accroître votre masse musculaire, l’augmentation naturelle de la testostérone permet de :

  • diminuer la quantité de graisse corporelle
  • augmenter la résistance de votre squelette
  • diminuer les risques de dépression
  • améliorer votre libido
  • améliorer vos capacités cognitives

Conclusion

L’efficacité de la testostérone sur la prise de masse musculaire n’est plus à démontrer ; cela relève de l’état de fait. Plus on produit de testostérone plus les probabilités de construire du muscle et de développer sa force augmentent.

En plus d’une alimentation saine et équilibrée, d’une prise alimentaire de protéines suffisante, d’exercices adaptés et de moments de récupération, il est conseillé de surveiller ses niveaux de testostérone afin qu’ils soient à leur maximum, et ce afin de prendre le plus de masse musculaire possible.

La prise de produits de synthèse étant exclue, un bon booster naturel de testostérone permettra de maximiser la prise de masse, grâce à des ingrédients 100% naturels.

C’est pourquoi il est préférable d’utiliser un produit comme TestoFuel afin de donner ce coup de pouce supplémentaire à votre corps.

Et vous connaissez vous Testofuel ? L’avez-vous déjà utilisé ? Pour quels résultats ?

La règle d’or pour une perte de poids durable

Dans quasiment toutes les disciplines, on veut faire croire qu’il suffit de suivre des règles aveuglément pour réussir. La discipline de l’entretien et du développement physique ne fait pas exception. Cela étant, après des années d’expériences avec les clients, je me suis convaincu qu’en matière de perte de poids, il existe bel et bien une règle d’or.

Attention toutefois, il ne s’agit pas d’une recette miracle ou autre guide infaillible mais la règle part d’un simple constat. Toutes les personnes qui ont suivi cette règle ont vu leur quête couronnée de succès. Je vous propose sans plus attendre de la découvrir :

La règle d’or

La règle d’or est, comme beaucoup de choses sur developpement-physique, très simple à énoncer mais bien plus complexe à mettre en œuvre :

Pour perdre du poids durablement, vous devez apprendre à vous nourrir correctement.

Voilà, vous savez tout 🙂 Il existe des variantes : Pour gagner du poids maigre (i.e ; du muscle), vous devez apprendre à vous nourrir correctement.

Une chose est certaine, c’est qu’en choisissant de ne pas suivre cette règle, vous limitez votre potentiel. A l’inverse, en en faisant un pré requis, vous jetez les bases d’un développement physique durable, soutenable est sain.

Force est de constater que très peu de gens savent de quoi il en retourne lorsque l’on parle d’alimentation et de nourriture.

  • La majorité ne connait aucun principe rudimentaire de l’art de l’alimentation.
  • Une petite partie s’y intéresse mais sans jamais creuser le sujet suffisamment.
  • Enfin une autre partie encore plus réduite s’attache à comprendre les tenant et le aboutissants de cet art. Ce sont eux qui réussissent leur transformation physique et qui sont capable d’améliorer radicalement leur vie quotidienne grace à un effort soutenu d’appentissage.

En effet, les découvertes en alimentation sont quotidiennes et, malheureusement, quelque fois contradictoires. Par conséquent, le pratiquant ne sait plus à quel saint se vouer.

Par exemple, les végétariens ont fait le lien entre une alimentation saine (et ce n’est pas seulement grâce au retrait des produits animaux) et une longévité accrue.

Les culturistes naturels eux ont fait le lien entre une alimentation adaptée et un développement physique optimal tant d’un point de vue prise de muscle que du point de vue de la limitation des tissus adipeux.

Bien que l’activité physique soit extrêmement importante pour votre santé et votre moral, elle n’est qu’un catalyseur lorsqu’il s’agit de perdre du poids. Bien évidemment, la combinaison des deux est la meilleure façon d’atteindre vos objectifs, mais la maîtrise de votre nourriture en demeure le point clé.

Ne faites pas l’erreur de croire que vous êtes comme certains pratiquants génétiquement doués qui peuvent se permettre de manger n’importe quoi et qui sont capables de conserver un physique très respectable en terme de masse musculaire et de ratio de masse grasse. Partez plutôt du principe que s’ils prenaient la peine de maîtriser leur alimentation, leurs progrès seraient décuplés !

Comment se nourrir correctement ?

Voici les grandes idées à suivre pour aller dans la bonne direction :

  • Prendre conscience de ses habitudes alimentaires : Bien souvent, on n’est pas capable de faire le lien entre ce que l’on mange et notre état de santé alors qu’ils sont directement liés. En prenant garde à ce que vous mangez, vous pourrez détecter les aliments auxquels votre corps régissent bien et tous les autres.
  • Lire des études scientifique en étant très vigilant sur la façon dont sont conduites les expérimentations (les résultats sont souvent biaisés) : Les études scientifiques sont délicates à interpréter. Elles permettent néanmoins de se tenir informé des nouveautés. Seulement, ces mêmes études sont trop souvent financées par les groupes agroalimentaires ou pharmaceutiques qui ont un intérêt économique à dissimuler la vérité. La vigilance est donc de mise.
  • Expérimenter par soi-même (probablement le meilleur conseil) : Vous voulez avoir le cœur net de l’effet de l’alimentation végétarienne sur votre physique et vos performances ? Lancez-vous pour une période d’un mois et notez vos résultats est observation. Vous verrez que c’est de cette façon qu’on en apprend et que l’on retient le plus !
  • Se faire suivre par un coach en nutrition : Le coach en nutrition est un raccourci. Engager un coach vous permet de tirer parti de son expérience et de celles de tous ses précédents clients réunit tout en évitant les erreurs les plus dommageables. Par ailleurs, le coach sera là pour répondre à vos questions et faire en sorte que votre motivation ne faiblisse pas. C’est une aide inestimable. Je propose mes service en tant que coache en nutrition. N’hésitez pas à me contacter pour des conseils peronalisés!
  • Lire developpement-physique.com régulièrement 🙂

Conclusion

Trop souvent, on pense que les personne qui réussissent ont quelque chose que nous n’avons pas et qu’il nous semble impossible d’identifier et encore moins de posséder. S’il est indéniable que certains paramètres échappent à notre contrôle, par exemple le facteur génétique, il ne faut jamais oublier que pléthore d’autres sont sous votre contrôle. Parmi ceux-ci se trouve le paramètre de l’alimentation, qui est le plus important pour développer votre physique et particulier perdre du poids durablement.

Atteindre et conserver son poids de forme n’est pas beaucoup plus difficile que de se laisser aller à accumuler les kilos superflus. La différence c’est que dans le premier cas vous aurez une bonne estime de vous en bonus, ce qui est un avantage inestimable dans votre vie de tous les jours.

Alors faites-vous la promesse de suivre cette règle d’or !

Et vous, où en êtes-vous dans la maîtrise de votre alimentation ?

Les 5 ateliers indispensables en musculation

Quel fonteux n’a pas rêvé d’avoir sa propre salle à domicile ? J’ai souvent réfléchi et je continue d’y penser à chaque fois que je prends le métro pour me rendre au gym…

Pour beaucoup, le fait d’aller en club est un élément important de la motivation. Pour d’autres, c’est le lien social que l’activité permet qui est importante.

Pour autant, d’autres pratiquants, dont je pense faire partie, ne voient dans la salle de sport qu’un moyen d’atteindre leur objectif de développement physique. A ce titre, plus elle est simple d’accès et libre de contrainte, meilleure est la productivité du processus complet.

L’objet de l’article du jour est de montrer qu’avec un nombre relativement restreint d’ateliers, le pratiquant sérieux sera capable d’effectuer la plupart des exercices nécessaires à son développement.

Contexte

Il est de plus en plus compliqué de trouver de véritables salle de musculation digne de ce nom proposant les ateliers nécessaires et suffisant. Ces ateliers devraient permettre d’exercer tous les groupes musculaires de façon efficace.

Le lecteur de développement-physique sait que pour se faire, il doit utiliser les mouvements de base.

En partant d’une routine de base, nous verrons que seuls 5 ateliers sont nécessaires pour arriver à nos fins.

Les 5 ateliers indispensables

Ci-dessous, un tableau listant les exercices de base et les ateliers associés:

5 ateliers indispensables

  • Banc réglable : Le banc réglable devra être votre premier atelier à visiter. Associé à la paire d’haltères, il permet de travailler la poitrine, le dos, les épaules et les bras.
  • Cage à squat : La cage à squat permet de travailler les jambes et également la poitrine en association avec une barre et le banc réglable.
  • Atelier Dips Traction : L’atelier dips traction permet de travailler le dos et la poitrine avec les tractions et les dips.
  • Barre : La barre est indispensable pour les exercices du dos, des jambes et potentiellement de la poitrine et des épaules
  • Haltères : Les haltères sont utiles à peu près tout le temps :

Conclusion

Assurez-vous que votre salle propose au moins ces 5 ateliers sinon passez votre chemin.

De même, avant de laisser votre salle actuelle pour un entraînement à domicile, assurez-vous de vous procurer au moins ces 5 ateliers. Inutile d’en avoir plus !

Parmi ces différents ateliers, lesquels utilisez-vous ? Lesquels vous feraient défaut si votre salle ne les proposait pas ?

Article invité – Développement physique et développement personnel

Ceci est un article invité de Benjamin du blog Sport et Motivation, où il aide ses lecteurs à atteindre leurs objectifs aussi bien dans le sport que dans leur vie personnelle.

N’avez-vous jamais entendu l’adage : « Bien dans son corps, bien dans sa tête ! ». Et bien, très honnêtement, je trouve qu’il n’y a pas plus vrai… Une personne bien physiquement, a beaucoup plus de chance de se sentir bien psychologiquement et intérieurement, qu’une personne se sentant mal dans son corps.

sport-motivation

C’est pourquoi je souhaite vous montrer l’importance de la relation entre développement physique et développement personnel. Nous verrons que cela passe notamment par la pratique d’un sport au quotidien avec en filigrane la question suivante : Quelle est la part du développement physique dans le développement personnel ?

Pourquoi et comment sport et motivation sont liés ?

C’est le thème principal et le nom de mon blog, et pour cause : je suis convaincu que sport et motivation sont intimement liés entre eux.

N’avez-vous jamais remarqué dans quel état vous vous sentez après une bonne séance de sport ? Plein de vitalité, vous avez chassé toutes vos idées noires et le stress accumulé pendant la journée.

Il y a une explication médicale à cela. Pendant une séance de sport, vous sécrétez de la dopamine, qui est le neurotransmetteur du plaisir. Ce dernier est également stimulé quand vous mangez du chocolat ou quand vous écoutez votre musique favorite.

Voilà pourquoi, il est conseillé de pratiquer une activité sportive au quotidien afin de rester motivé dans vos projets tant personnels que professionnels.

Le développement physique, un vecteur important du développement personnel ?

Tout d’abord, il convient de définir précisément ce qu’est le développement personnel. Pour simplifier les choses, c’est tout simplement prendre confiance en soi, apprendre à être bien dans sa tête, être positif au quotidien en toute situation.

Un des fondements  du développement personnel repose donc sur sa capacité à se fixer des objectifs pour définir clairement ce que vous souhaitez dans la vie.

C’est la même chose dans le développement physique et dans la pratique d’un sport. Il faut avant tout se fixer des objectifs avant de démarrer.

Par ailleurs, le sport, que ce soit de la course à pied, du vélo ou des sports de combat, permet de prendre confiance en soi d’une manière efficace. En effet, une activité physique, pratiquée régulièrement, permet d’améliorer l’estime que l’on a de soi. Parce qu’il vous oblige à vous dépasser sans cesse, le sport vous permet d’adopter inconsciemment des comportements plus positifs au quotidien.

Ainsi pour résumer ma pensée et cet article. Voici quelques conseils pour que la pratique d’un sport vous aide réellement dans votre développement personnel :

  • Toujours se fixer des objectifs viables sur le court, moyen et long terme. Ces objectifs doivent être ambitieux mais réalisables suivant votre niveau, afin de ne pas vous décourager non plus.

 

  • Choisir une (ou des) activité(s) physique(s) qui vous attire. Le meilleur moyen d’atteindre ses objectifs, c’est de faire ce que l’on aime. Ainsi, si vous choisissez un sport pour lequel vous n’êtes pas particulièrement emballé, vous risquez d’abandonner très vite.
  • Investir dans un équipement correct pour la pratique de votre sport. D’une part, cela vous permettra de vous sentir à l’aise. D’autre part, une fois que vous aurez investi un peu d’argent, vous vous sentirez obligé d’aller au bout de votre objectif.
  • Prendre le temps d’analyser vos résultats, aussi bien au niveau sportif qu’au niveau personnel. Vous devez très vite vous rendre compte des effets positifs que cela a sur vous. Ces derniers vous permettront ainsi d’être encore plus motivé pour la suite.

Voilà, j’espère que cet article vous aura aidé à comprendre, pourquoi le sport et le développement physique sont si importants dans le développement personnel. Et comme je le disais au début de cet article, n’oubliez pas : « Bien dans son corps, bien dans sa tête ! ».

Et vous, pratiquez-vous régulièrement du sport pour vous sentir bien dans votre tête ?

Utilisez les publicités pour perdre du poids

Oui vous avez bien lu, il est possible d’utiliser la publicité pour perdre du poids et/ou optimiser votre développement physique.

En tant que citoyen des temps modernes, vous savez probablement que notre système de croissance repose sur la consommation. Aussi, il est logique que les industries, et en particulier l’industrie agro-alimentaire, afin de faire toujours plus de profit, nous poussent à la consommation. Et une fois que l’on a consommé tout ce que l’on pouvait, alors il faut inventer de nouveaux produits pour que le consommateur ne s’endorme pas et continue de rechercher la nouveauté !

C’est tout le piège…

La tendance

C’est à cause de ce système que de nombreuses professions du marketing et de la communication ont vu le jour. On a vu naître des professions telles que les télé marketeurs et les chargés d’enquêtes qui ont pour mission d’apprendre de vos comportements pour vous proposer les bons produits au bon moment afin de minimiser vos capacités de résistance à l’achat.

Les pro du design sont ensuite là pour donner une belle touche à tous les produits agro-alimentaires pour les rendre irrésistibles pour le consommateur (cf. le photographe de hamburger).

Et jusqu’aux professionnels de la santé qui vous refourguent des médicaments pour vous aider à mieux digérer ces produits nocifs pour que vous puissiez rapidement remettre le couvert…

Ou va – t-on…

Ainsi, la publicité et l’envie sont notre quotidien. Cela dit, il est aussi possible d’utiliser ce système pour distinguer ce qui est bon de ce qui est mauvais. Voici comment.

Pris à son propre jeu

En fait, l’arme absolue pour reprendre la main sur son apparence physique, tant pour perdre du poids que pour développer un corps plus sain, plus robuste et en meilleur santé, est la suivante :

  • A chaque fois que vous vous promenez dans la rue, dans le métro, ou au supermarché ou encore lorsque vous surfez sur le web ou parcourez des journaux, rappelez-vous de ne jamais acheter les produits alimentaires dont on fait la promotion.
  • La seule exception (et encore, il faudra être prudent) reste les denrées de bases.

Avez-vous vu beaucoup de publicité pour l’eau de votre robinet ? Et pourtant c’est celle que vous utilisez le plus.

Les légumes frais par exemple ne font pas l’objet de publicité dans le métro. En revanche le beurre a fait l’objet d’une campagne de publicité récemment et les produits laitiers également. Or vous connaissez mon point de vue sur le lait et les produits laitiers.

En synthèse

  • Les denrées de bases peuvent être achetées sans souci
  • Tout produit, nouveau, marketé ou brandé ou tout plat préparé et dont on vous fait la promotion devrait être ignoré

En suivant cette règle simple, vous éviterez d’acheter et de consommer une quantité astronomique de cochonneries et votre corps vous remerciera très rapidement !

 

Faites-vous parti des consommateurs qui se font tromper par la publicité ou bien êtes-vous désormais capable d’utiliser la publicité à votre avantage ?

Une histoire de statistiques alimentaires

Dans le post du jour, je me propose de vous faire découvrir un site internet fort intéressant à propos des statistiques sur la consommation et la production de denrées alimentaires au niveau mondial : www.planetoscope.com

Sur www.developpement-physique.com nous nous intéressons en particulier aux différents vecteurs de mieux être et de développement physique au premier rang duquel se trouve l’alimentation.

Des statistiques nationales et mondiales sont disponibles sur www.planetoscope.com dans la rubrique « Agriculture et alimentation ».

Notes: Beaucoup d’autres éléments sont supervisés et monitorés, tel que la consommation de matières diverses (eau, papier, matières premières, etc.) mais aussi l’état général de l’environnement (L’eau et les océans, les sols, les forêts, etc)

Revues des rubriques du menu « Agriculture et alimentation »

Passons en revue quelques rubriques du menu qui vous intéresse au premier chef car il vous donnera de nombreuses informations sur les habitudes alimentaires de la population française en temps réel. Cela vous permettra de vous situer par rapport à vos contemporain et d’en apprendre toujours plus sur l’alimentation et la nutrition.

Elevage et viande

On commence par la rubrique la plus macabre car l’on parle assez rapidement d’abattage de bêtes. On y apprend par exemple que « 1 090 animaux par seconde, soit 60 milliards d’animaux » sont abattus en vue d’être consommé. Ce chiffre n’était « que » de 44 milliards en 1950. Nous ne prenons pas la bonne direction (+30% en un demi-siècle)…

On apprend aussi qu’« au printemps, une vache de 700 kilos peut manger jusqu’à 700 kilos par jour », c’est énorme.

Autre indicateur intéressant, « en 2010, plus de 14 milliards d’œufs ont été produits en France, soit plus de 450oeufs chaque seconde ».

Céréales

Dans cette rubrique, les principales données liées aux céréales sont affichées.

On y apprend que l’ »on consomme 14 000 kilos de riz chaque seconde dans le monde, soit 447 millions de tonnes par ans ». On y apprend aussi que la «production de riz est de 15 000 kilos par seconde, soit 459,7 millions de tonnes par ans ». Mais ou passe la différence ? Elle est stockée ? 

Pêche et poissons

On se penche rarement sur les statistiques issues de monde de la pêche (en tout cas pour ma part). Dans cette rubrique, on traite de la culture des huitres, de la pêche de cabillaud et aussi de la consommation de méduse par les japonais !

On y apprend que « 30 milliards de kilos de poissons morts sont rejetés sans être commercialisé ni consommées ». Comparées aux « 154 millions de tonnes de poissons péchés par an », cela représente une productivité plutôt médiocre aux frais de la Nature…

Fruits et légumes

Dans cette rubrique on peut prendre conscience de la production mondiale de nombreux fruits et légumes depuis le 1 janvier de cette année.

On y apprend par exemple que l’«on produit environ 2 105 kilos d’orange chaque seconde dans le monde, soit 66,4 millions de tonnes par an dont 30 millions pour être transformées en jus d’orange. »  La moitié est donc destinée à alimenter l’industrie de jus d’orange alors même que la consommation de ce produit apporte plus d’inconvénients que d’avantages…

Restauration

Rubrique intéressante car permettant de se situer par rapport aux habitudes des ménages français en terme de sorties au restaurant.

On y apprend que « la dépense en restauration d’un ménage français est en moyenne de 1 320 € par an, soit 22,3% de son budget alimentaire total ».

Quoi qu’on en dise, le français ne semble pas trop à plaindre !

Produits laitiers

Dédié aux produits lactés, cette rubrique propose des indicateurs sur la consommation et la production de fromage, laits et autres dérivés de l’industrie du lait.

On y apprend par exemple que « chaque seconde ce sont 42 kilos de yaourt qui sont consommés en France ». Les yaourts sont les moins mauvais des produits laitiers à mon avis. Ils restent tolérés par la grande majorité de la population mais ne doivent pas être surconsommés pour autant.

Alimentation et nutrition

Dans cette rubrique on trouve des indicateurs assez variés mais plutôt parlants pour le consommateur moyen.

On y apprend que chaque seconde, « ce sont 320 baguettes de pain qui sont consommées et produites en France, soit 10 milliards par an ». Quand on sait que le pain de nos jours n’est plus un bon aliment, cela peut expliquer la recrudescence de diabète par exemple.

On y apprend aussi que « plus de 41 200 kilos de nourriture sont jetés chaque seconde dans le monde ». Ce qui laisse beaucoup de marge pour nous améliorer sur cet indicateur et tous les niveaux, en commençant par chaque citoyen. Ne gaspillez plus !

Bonus

Des chiffres clés sont proposés dans la colonne de gauche du site afin de prendre conscience de certains impacts de nos habitudes sur notre environnement.

Par exemple, saviez-vous qu’un citoyen d’un pays développé consomme en moyenne 156 kilos de lait par an contre seulement 38 pour un citoyen d’un pays en voie de développement ?

Et si le corps humains vous intéresse, et je sais que c’est le cas, faite un tour sur la page « Le corps humain » pour apprendre quelques statistiques épatantes sur vous vous-même !

  • 2 000 kilos : Pression maximale à laquelle l’ossature peut résister (vous pouvez charger vos barres sans souci pour votre squelette :))
  • 160 000 kilomètres : Longueur totale de tous les vaisseaux sanguins d’un corps humain, soit 4 fois le tour de la Terre !
  • Nous dormons environs 1/3 de notre vie, soit 202 300 heures ou un peu plus de 23ans. Pendant ce temps dans les bras de Morphée, nous effectuons 128 000 rêves ou cauchemars !

Je vous invite à découvrir et à vous référer de temps en temps à ces informations pratiques et utiles.

Et vous, êtes-vous conscient de l’impact de votre alimentation sur l’environnement ?