Le yaourt protéiné

Comment augmenter ses apports en protéines, tout en continuant de se faire plaisir en mangeant ?

J’ai découvert une solution toute simple dernièrement : Le Yaourt protéiné.

Le constat

Les mauvaises habitudes ont la vie dure. Depuis notre tendre enfance, nous avons pour coutume de terminer un repas par un dessert (ou deux pour les plus gourmands). Il ne fait aucun doute que les desserts sont un paradoxe de notre alimentation. Ils servent à se faire plaisir immédiatement mais ils sont en fait une véritable charge pour le corps.

Par ailleurs,  on sait que lors des régimes, ce seront les premiers à être pris pour cible. C’est parfois une difficile étape pour nombre des pratiquants qui souhaitent s’investir dans l’entreprise de développement de leur corps. Elle est même parfois rédhibitoire. Le pratiquant arrête ses prises de desserts brutalement et bien souvent, la tentation reprend le dessus en quelques semaines et la rechute dans la surconsommation de desserts ne se fait généralement pas attendre bien longtemps.

Mais n’ayez crainte, il existe des solutions !

Permettez-moi de vous présenter celle que j’utilise en ce moment.

La solution

C’est bien simple : Un yaourt et de la poudre de protéine !

Au lieu de sucrer le yaourt, déposez simplement une fine couche de poudre de protéine sur la surface du yaourt. Le petit lait présent en surface va être absorbé par la poudre.

Par la suite, vous pouvez soit déguster le yaourt tel quel, ou bien le mélanger si vous préférez.

C’est une recette qui vous permettra également de terminer les sacs de protéines dont le goût ne reviendrai plus…

Pour ma part et après quelques expérimentation, je recommande de déposer une première couche d’isolat de protéine de soja au chocolat (pour un goût un peu sucré) et une seconde couche de protéine d’isolat de pois pour le goût si particulier qu’elle procure. En plus de fournir une combinaison d’acide aminés complète, le goût est très agréable et le coût est minimal par rapport à ce que l’on peut trouver sur le marché.

L’avantage de la recette est qu’elle est excessivement simple et peu couteuse compte tenu des ingrédients et de la faible quantité de protéine utilisée.

La recette fonctionne avec n’importe quelle protéine et n’importe quel dessert lacté :

  • Yaourts de marque
  • Yaourts de marque distributeur
  • Yaourts brassés
  • Yaourts fait maison

Cependant, choisissez des yaourts et/ou des fromages blancs relativement légers (pas de fromage blanc à 40% de matière grasse par exemple).

A vous de tester les combinaisons et de rester sur celle que vous préférez.

Conclusion

Sachez que la culture de votre volonté vous permettra d’aller très loin dans toutes vos entreprises sur terre. Qu’elles soient liées à votre développement physique, personnel ou professionnel, employez votre temps et votre énergie à maîtriser et à renforcer votre volonté pour être capable, dans ce cas de figure de vous passer de dessert. Le yaourt protéiné est une excellente solution dans un premier temps pour aborder la transition vers le zéro dessert ou bien lorsque les besoin en calorie et en protéine s’élèvent quelques peu.

Dernier avertissement : Délicieux par nature, le yaourt protéiné peut très facilement être surconsommé. Prenez bien garde à vous fixer des limites (par exemple un seul yaourt protéine par jour).

Par ailleurs, une surconsommation peut avoir des effets sur le transit intestinal (risques de constipation).

Et vous, quelles sont vos astuces pour éviter de manger un dessert tout en augmentant vos apports en protéines ?

Indiquez nous quelle est votre protéine préférée pour mélanger avec votre yaourt dans les commentaires !

La solution pour vos protéines

Je profite de quelques minutes de répit entre séances de musculation, repas estivaux et farniente au bord de la piscine pour vous faire part d’une découverte simple mais pratique :

Comment se concocter un encas protéiné rapide, simple, gouteux et roboratif ?

L’élément déclencheur

L’idée de ce site est de proposer des conseils et des anecdotes pour vous aider à développer votre physique et à réaliser votre potentiel. Cela passe d’une part par du contenu issu de mes expériences et de celles de mes clients, et d’autre part par des tests et des essais de produit diététiques. Ainsi, depuis sa mise ligne, j’ai en parallèle commencé à tester un certain nombre de produits. Si vous me lisez depuis quelques temps, vous savez que je préfère rester basique quel que soit le sujet, et les suppléments ne font pas exception.

Aussi, ai-je décidé de commencer par tester les protéines avant tout, et peut être uniquement d’ailleurs (à suivre).

Toujours est-il que j’ai utilisé plusieurs marques différentes par périodes de 15 jours afin d’évaluer les critères de test suivants :

  • Goût
  • Facilité de dilution
  • Digestion
  • Résultats sur ltétat de forme général et impacts sur le physique

Dans les faits, on constate souvent que les produits protéinés sous forme de poudre n’ont pas toujours très bon goût.

Aussi ai-je pris le parti de les mélanger toujours avec de l’eau plutôt qu’avec du lait pour avoir un avis le plus objectif possible sur le sujet (d’ailleurs je ne bois plus de lait depuis des mois).

Ces derniers temps j’ai mis un peu plus à contribution ma créativité naissante et j’ai récemment découvert trois astuces tout à fait simples que je vais vous dévoiler.

Les solutions

Les 3 recettes que je vous livre ci-après sont toutes exquises (en tout cas de mon point de vue) et sont classées par ordre de simplicité.

Le yaourt protéiné

J’ai pris pour habitude de consommer un yaourt nature le soir en guise de “dessert”. Comme je ne dispose pas de sucre en poudre chez moi (au passage si vous en avez, pensez sérieusement à le finir dans un gâteau pour ne jamais plus en racheter), je me suis laissé tenté par l’utilisation, en tout et pour tout, d’un peu de poudre de protéine pour seul agrément.

Le résultat fut tout à fait délicat, agréable au goût et facile à digérer. Et surtout, quel que soit le produit et le parfum, le mélange avec un yaourt est systématiquement meilleur au gout. Attention toutefois, une surconsommation peut avoir des effets sur le transit intestinal (risques de constipation en particulier).

Mode opératoire :

  • Mélanger dans un bol, un yaourt nature, une cuillérée de poudre de protéine et un demi-pot d’eau.
  • Vous pouvez modifier les proportions pour avoir un mélange plus ou moins dense et/ou onctueux.
  • Vous pouvez y ajouter quelques copeaux de chocolat ou directement un carré écrasé en petit morceaux ou encore un peu de cannelle.

Simple, efficace, nourrissant, délicieux, économique : que demande le peuple ?

La préparation à l’avoine

Une autre préparation aussi délicieuse mais légèrement plus élaborée consiste à utiliser la poudre d’avoine. La poudre d’avoine a ceci de supérieur à l’avoine qu’elle ne provoque pas de troubles digestifs de type flatulence tout en fournissant autant de fibres.

Mode opératoire :

  • Dans un bol, mélanger une cuillère de protéine pour 3 cuillères de poudre d’avoine.
  • Ajouter ou non un yaourt suivant la préférence.
  • Ensuite ajouter un peu d’eau (la poudre d’avoine absorbe beaucoup l’eau) jusqu’à ce que le mélange ait la consistance souhaitée.
  • Enfin, jeter quelques céréales de noix du type country crisp ou bien cruesli de quaker oats pour agrément

Légèrement plus élaborée mais aussi plus énergétique, cette préparation vous réconfortera après une dure séance ! Voici le résultat, attention vous risquez d’y revenir plus souvent qu’à votre tour :

Le smoothie

C’est l’été, alors pourquoi ne pas exercer vos compétences de serveurs et faire des smoothies protéinés ?

Mode opératoire :

  • Mettre quelques glaçons dans un blender et les réduire en glace pilée.
  • Ajouter ensuite deux cuillérées de poudre de protéines et autant de poudre d’avoine.
  • Eventuellement vous pouvez y adjoindre un demi-yaourt ou un peu de fromage blanc.
  • Ajouter une banane coupée en rondelle et une feuille de menthe.
  • Compléter avec de l’eau et mixer tranquillement le mélange.

Idéal au bord d’une piscine après une bonne séance de musculation.

 

En espérant que ces 3 recettes vous aurons donné des idées pour allier l’utile à l’agréable !

Alors essayez dès que possible, vous m’en direz des nouvelles !

Et vous, comment consommez-vous vos protéines ?

Protéines et douleurs articulaires

Ce soir je voulais simplement partager avec vous un constat sur mes deux dernières semaines d’entraînement.

Fondamentalement, je n’ai pas changé mon programme et celui-ci est resté identique pendant le mois dernier. Ce que j’ai changé par contre, c’est mon apport en protéines.

 

En effet, depuis le début de l’année je ne prenais plus de protéines en poudre et il m’en restait un peu au fond d’un pot. Comme j’ai prévu de reprendre les protéines et d’en tester quelques unes pour vous, je me suis dit que j’allais commencer par terminer celles-ci. Logique. A titre indicatif voici les quantités que je prenais: 10 gr le matin, 20g avant l’entraînement et 10 gr au coucher.

Pour un poids de corps de 70 kilos environ, cela représente en gros un tiers des apports conseillés en protéine correspondant peu ou prou à la limite maximum des apports par une source autre que l’alimentation normale. C’est donc les conditions dans lesquelles la majorité des pratiquants devraient consommer des suppléments en protéines (en tout cas pas plus).

 

Constat

 

J’ai constaté quelque chose de surprenant que je souhaitais partager ici avec vous. Dans les premiers jours de la première semaine de reprise, je me sentais un peu mieux et je congestionnais bien aux entraînements. Mais très rapidement, les sensations sont redevenues comme avant sauf qu’en plus, mes muscles se fatiguaient plus vite. Je n’étais plus capable de faire autant de répétitions avec les mêmes charges qu’auparavant…

Paradoxalement, je récupérais moins vite ou en tout cas mes courbatures duraient plus longtemps. Ceci peut s’expliquer par le fait que les protéines dégradées restent dans le muscle sous forme d’acide lactique et doivent être éliminées. Cela nécessite un travail de la part de l’organisme qui peux prendre du temps et qui mobilise des ressources.

Et puis au début de la semaine 2, j’ai commencé à ressentir des douleurs aux articulations.

En fin de semaine 2, mes charges avaient baissées…

 

Recommandation

 

Je ne sais pas si c’est la qualité de la protéine (peut être un peu vieille) ou un autre facteur qui a influencé mon entraînement, mais l’effet de la prise de cette protéine a été inverse de celui souhaité.

Je vais terminer cette semaine et recommencer un cycle sans protéine dès la semaine prochaine avec toujours le même entrainement pour voir la réaction.

Je vous tiendrai informé.

 

Conclusion

 

Il est sans doute trop tôt pour conclure mais j’avais déjà entendu un pratiquant me dire que les protéines en poudre lui faisaient mal aux articulations…

 

 

Et vous, vous est-il déjà arrivé de ressentir les effets inverses de ceux escomptés en prenant un supplément ?