Article sponsorisé – Pourquoi utiliser un booster de testostérone

La testostérone est une hormone humaine plutôt bien connue du grand publique. Elle est naturellement produite par le corps tant chez l’homme que chez la femme, la différence réside dans la quantité produite, puisque les hommes en produisent bien plus que les femmes.

La testostérone joue un rôle important dans le développement physique et en particulier sur le développement de masse maigre.

Pour la petite histoire, l’homme produirait jusqu’à 20 fois plus de testostérone que la femme, ce qui explique pourquoi les femmes normalement constituées ne peuvent généralement pas développer leur masse musculaire de façon à atteindre un niveau proche de celui des hommes.

Cela étant dit, à l’intérieur même du groupe des hommes, tous ne sont pas égaux quant à leur production de testostérone et à la sensibilité de leur structure à cette dernière. En d’autres termes, certains hommes produisent naturellement plus de testostérone que d’autres.

Des difficultés à prendre de la masse ?

Dans la majorité des cas, les pratiquants qui peinent à développer de la masse maigre peuvent être classé en 3 catégories :

  • Un manque de masse maigre dû à une alimentation faible en protéines  et inadaptée
  • Un manque de masse maigre dû à un manque de sommeil et/ou de récupération
  • Un manque de masse maigre dû à une routine inadaptée (poids trop légers, trop de cardio, etc.)

Bien que ces 3 piliers doivent être soigneusement pris en compte, il faut bien être conscient que la testostérone facilite la transformation de protéines en muscles.

Dans cette étude, par exemple, la testostérone a aidé à synthétiser jusqu’à 27% de masse musculaire supplémentaire à partir de protéines. En gros, toute chose égale par ailleurs, celui qui dispose de plus de testostérone a un pouvoir de développement 1/3 supérieur à la moyenne. Ce qui n’est pas négligeable.

Inversement, si le taux de testostérone sanguin est faible une partie plus ou moins importante des protéines ingérées ne sera pas exploitée à leur juste valeur par les structures du corps.

Ainsi donc, lorsque l’on s’est assuré que les trois piliers étaient correctement mis en place et que les gains ne sont toujours pas au rendez-vous, le hic réside peut-être bien dans le manque de testostérone.

Stéroïdes vs Booster naturel

Dans quasiment toutes les salles de musculation, on tombe sur quelques spécimens intéressants puisqu’ils ont réussi à développer des bras comme nos cuisses.

Pour une partie, la probabilité pour qu’ils prennent ou qu’ils aient pris des substances illicites est assez élevée.

Pour d’autres, ils sont effectivement génétiquement dotés et ont travaillé dur (pas toujours correctement, mais c’est un autre débat) pour en arriver là.

Et puis il y a aussi ceux qui ont utilisé des techniques naturelles pour optimiser leurs niveaux hormonaux.

Inutile de digresser sur les dangers de la prise de stéroïdes et le fait que cela soit en contradiction même avec l’esprit du culturisme originel et du développement physique. Le lecteur assidu de developpement-physique.com le sais mieux que quiconque.

Les boosters naturels de testostérone peuvent être une option valable pour augmenter naturellement ses niveaux de testostérone, et ce, en toute sécurité car c’est bien le corps lui-même qui produira son hormone en osmose avec tous les autres mécanismes physiologiques.

Le résultat ne sera certes pas comparable avec une prise de produit stéroïdien mais la différence sera tout de même intéressante surtout si les niveaux de départ sont plus bas que la normale (dû à un épuisement, un surentrainement ou autre).

Parmi le grand nombre de boosters naturels de testostérone qu’il existe sur le marché, TestoFuel s’avère être un choix judicieux car il se focalise également sur des nutriments qui aideront à la production de testostérone mais pas uniquement. En effet, Testofuel contient de grandes quantités de vitamine D et d’acide aspartique D (qui sont les 2 ingrédients naturels connus pour augmenter la testostérone).

Autres bénéfices liés à un taux de testostérone élevé

Petit bonus : En plus d’accroître votre masse musculaire, l’augmentation naturelle de la testostérone permet de :

  • diminuer la quantité de graisse corporelle
  • augmenter la résistance de votre squelette
  • diminuer les risques de dépression
  • améliorer votre libido
  • améliorer vos capacités cognitives

Conclusion

L’efficacité de la testostérone sur la prise de masse musculaire n’est plus à démontrer ; cela relève de l’état de fait. Plus on produit de testostérone plus les probabilités de construire du muscle et de développer sa force augmentent.

En plus d’une alimentation saine et équilibrée, d’une prise alimentaire de protéines suffisante, d’exercices adaptés et de moments de récupération, il est conseillé de surveiller ses niveaux de testostérone afin qu’ils soient à leur maximum, et ce afin de prendre le plus de masse musculaire possible.

La prise de produits de synthèse étant exclue, un bon booster naturel de testostérone permettra de maximiser la prise de masse, grâce à des ingrédients 100% naturels.

C’est pourquoi il est préférable d’utiliser un produit comme TestoFuel afin de donner ce coup de pouce supplémentaire à votre corps.

Et vous connaissez vous Testofuel ? L’avez-vous déjà utilisé ? Pour quels résultats ?

3 objectifs pour votre séance

Parfois, on est pris dans le courant de la vie et tout nous semble relever de la routine. Il arrive bien souvent que les résultats en termes de progression se tarissent et parfois même s’estompent. Avant que cette situation n’arrive, remémorez-vous les 3 objectifs prioritaires de votre imminente séance, et ce, chaque fois que vous partez déterrer la hache de guerre à la salle de sport,

Se préserver

Le premier objectif, le plus important de tous n’est pas assez pris au sérieux : Il s’agit de la prévention des blessures.

Si vous et moi faisons de la musculation ou tout autre activité sportive, c’est dans le but d’être plus performant et de développer notre physique pour être mieux dans notre peau. Si vous vous blessez lors de votre séance (pour une raison ou pour une autre : charge trop lourd, manque d’échauffement, manque de concentration), vous vous éloignez de votre objectif. De surcroît, vous allez traîner cette blessure toute la semaine et allez être handicapé dans vos autres activités. Je rappelle que ce n’est pas le but de l’entraînement en salle.

Aussi, soyez aussi concentré que possible et sachez interpréter les signaux que vous envoie votre corps à chaud.

Méfiez-vous de cet égo qui vous poussera à faire une série de plus (alors qu’elle n’était pas au programme) qui sera d’une part contreproductive car mettant à mal votre récupération musculaire mais en plus vous flanquera un handicap plus ou moins grave qui s’exprimera par une blessure.

Travailler avec votre corps, pas contre lui.

Progresser

(En charge ou en nombre de répétitions par série)

Dans votre log d’entrainement vous avez écrit 100 kilos au développé couché. Dès lors, votre objectif pour la séance suivante de développé couché sera de faire :

  • soit le même nombre de répétition avec une charge un peu supérieure
  • soit une répétition de plus avec la même charge
  • soit les deux en même temps (là vous êtes comac)

Attention à la tentation de rajouter des séries. L’ajout de série est contreproductif et indique que vous n’avez pas travaillé assez dur vos précédentes séries.

Rappelons que l’objectif de la musculation pour la croissance est d’être bref, intense et efficace. Ajouter une série indique que votre entraînement n’était pas assez intense et allonge la durée de ce dernier (ce n’est donc vraissemblablement pas la bonne voie !).

Ne pas s’épuiser

Souvenez-vous toujours que la croissance musculaire se fait en trois étapes :

  • La stimulation destruction de tissus pour 1% du temps
  • La récupération pour 79% du temps
  • La surcompensation et la croissance pour 10% du temps

Pour que les étapes 2 et 3 prennent place, il faut que la première étape ait été bien menée, c’est-à-dire que l’entraînement ait été équilibré entre intensité maximale et travail minimal. Si, une fois la stimulation nécessaire atteinte, vous continuez de travailler un muscle, ce dernier utilisera ses réserves de sucres et de protéines pour faire face, et ce, au détriment de la récupération et de la compensation.

En pratique , c’est là que l’on se rend compte que votre 5eme série de développé couché ne vous a pas aidé à stimuler davantage les tissus mais elle a en plus fatiguée vos muscles inutilement et a impliqué un délai de récupération plus grand.

Dans l’idéal, vous devriez encore avoir un peu d’énergie à la fin de vos séances et ne pas être totalement épuisé sous peine de ne jamais vraiment récupérer et encore moins de construire du muscle !

Respectez-vous bien ces 3 objectifs pour chacune de vos séances ?

L’ordre dans une séance mixte

 

La plupart des pratiquants ne disposent pas de suffisamment de temps pour effectuer une séance quotidienne de sport dans leur semaine de vie courante. Tout au plus, il est possible, pour les plus motivés d’entre eux, de se libérer entre 3 et 4 fois par semaine (weekend compris) pour s’adonner à l’exercice de leur corps.

Cependant, lorsque l’on parle de séance de sport on inclut les séances de musculation et également les séances d’activité cardio vasculaire dans le lot. Si bien que l’on se retrouve à mixer ses séances de cardio avec ses séances de musculation.

Ainsi, une séance mixte consiste à combiner activité de musculation et activité cardio vasculaire au cours d’une seul et même séance.

Bien qu’il soit préférable de séparer les deux, la séance mixte reste une option valable mais il y a une règle à respecter concernant l’ordre.

Faut il faire son cardio avant sa séance de musculation ?

La séance de musculation

Elle a pour but principal de déplacer des poids conséquents de manière à surcharger les muscles et briser leurs fibres.

Si vous avez déjà fait de la musculation, vous savez que ce type d’effort, relativement bref mais en tout cas très intense, demande une bonne dose de volonté, une motivation neuve et toutes ses capacités cognitives et physiques pour être rondement menées.

La séance de cardio

A l ‘inverse, la séance de cardio sera plus longue mais d’une intensité moindre. De plus, il n’est pas nécessaire d’être très concentré et motivé pour faire 30 minutes de course sur un tapis, sur un stepper ou encore sur un vélo statique.

L’objectif sera de faire augmenter le trythme cardiaque pour atetindre la zone de battement par minute qui va bien en fonction des objectifs du pratiquant. Ce faisant, le corps consommera un peu de ses sucres en circulation et commencera à dégrader un peu de graisse pour se fournir en énergie nécessaire à la production de l’effort moyenne ment intense mais de moyen long terme.

Verdict

A la lecture des deux précédents paragraphes, il apparait évident que dès lors qu’il n’est pas possible de séparer les séances de musculation et de cardio, il faudra débuter la séance par l’activité la plus dure physiquement et émotionnellement : la séance de musculation.

C’est seulement après avoir réalisé une bonne bataille avec la fonte que vous ne devriez être autorisé à vous diriger vers les machines de cardio ou à chausser vos baskets de courses à pied ou votre maillot de bain.

En effet, la pratique de musculation à haute intensité (requis pour toute séance efficace) est très nettement affectée par la pratique d’une autre activité avant.

Faites l’essai sur 1 mois, et vous constaterez par vous-même que les sensations ne sont pas les mêmes et que sur le moyen terme, les résultats sont nettement meilleurs en suivant ce simple conseil.

Note : Pour ceux qui cherchent à prendre de la masse musculaire, il faudra diminuer ou même supprimer les séances de cardio pendant la phase de prise de masse. Rappelons simplement que toute énergie dépensée sur le tapis de jogging sera autant d’énergie indisponible pour la récupération et la croissance des fibres musculaires.

Et vous, dans quel ordre effectuez-vous vos activités si vous êtes contraint de faire de la musculation et du cardio au cours de la même séance ?

 

Une histoire de muscles et d’os

Cet article est spécialement dédié aux adeptes de l’entraînement de haut volume et/ou de haute fréquence afin qu’ils comprennent pourquoi le fait de s’entraîner trop fréquemment peut rapidement devenir contre-productif.

 

Une analogie frappante

Je vous propose de réaliser une analogie entre les muscles et un autre élément fondamental du corps que sont les os.

Tout comme les muscles, les os sont des tissus vivants qui sont en perpétuelle reconstruction. C’est ce qui explique les personnes âgées, à partir d’un certain moment, voient leurs os se fragiliser parce que l’organisme n’est plus aussi efficace pour absorber les nutriments et effectuer une resynthèse des tissus osseux.

Par ailleurs, le manque d’activité physique intense (de type musculation avec charges lourdes), favorise l’attrition osseuse dans la mesure où le corps n’a pas besoin d’un squelette robuste.

Avez-vous déjà observé une radiographie d’un os cicatrisé (suite à une fracture) ? Si tel n’est pas le cas, laissez-moi vous expliquer ce que l’on peut observer. Aux alentours de la fracture initiale, l’os s’est reconstruit et a été un peu plus loin en surcompensant la rigidité et la solidité de l’os à proximité de la cassure initiale.

Ce phénomène est étrangement similaire à celui de reconstruction musculaire.

Tant que l’os ne sera pas fracturé, il ne deviendra pas plus gros.

De la même façon, tant qu’un muscle n’est pas entraîné suffisamment intensément pour rompre les fibres qui le composent, il ne deviendra pas plus gros.

 

Maintenant posons-nous une question : Vous viendrait il à l’esprit de reposer le pied par terre 1 heure après avoir été plâtré ?

Sachez que c’est exactement la même chose pour les muscles. Un muscle qui n’a pas eu le temps de cicatriser ne sera pas plus fort et deviendra même plus faible s’il ne dispose pas d’un temps suffisamment long pour récupérer ET surcompenser (grossir).

En d’autres termes, si vous êtes capable d’entraîner un muscle deux jours de suite, c’est que votre premier entraînement n’en était probablement pas un (au sens du niveau d’intensité). C’est comme si vous aviez reçu un petit coup sur un os mais sans dégât.

L’objectif à la salle de sport est de véritablement briser les fibres des muscles le plus rapidement possible et sans entamer les ressources énergétiques nécessaires à la récupération.

 

C’est pourquoi l’entrainement de haut volume, bien qu’efficace pour certaines personnes et sur un laps de temps défini, n’est pas la meilleure approche pour construire du muscle.

 

Conclusion

Brisez vos muscles comme vous vous briseriez un os, et ensuite prenez bien garde à rester aussi longtemps en convalescence que nécessaire pour leur laisser tout le loisir de récupérer et de grossir.

Je vous invite à essayer les méthodes HIT ou l’intensité maximale et une durée de séance minimale sont les deux éléments essentiels.

Ce n’est pas une approche facile à mettre en place, en particulier si vous avez pris l’habitude de vous entraîner souvent à d’autres sports non intenses (volley, tennis, foot, etc)

Souvenez vous, une activité intense n’est pas soutenable dans le temps !

 

Et vous, quelle est votre fréquence d’entaînement optimale pour laisser suffisamment de temps à vos muscles pour récupérer ?

La règle des 4 P

 

A partir d’un certain temps, les pratiquants de musculation sont généralement confrontés à une période de stagnation. On parle alors de l’atteinte d’un « plateau ». Dès que ce cas de figure se présente, il est important d’en prendre conscience afin d’actionner les leviers qui permettront de relancer la croissance et la progression. Dans tous les cas, il faut éviter coûte que coûte de rester trop longtemps sur le plateau, voire de régresser.

 

Pourquoi stagnons-nous ?

 

Les débutants ont l’avantage de n’avoir jamais choqué leurs muscles de façon si stressante et si répétée avant de poser le pied dans une salle de musculation. L’entraînement aux poids est assez spécifique dans son approche et dans sa pratique par rapport aux autres sports que l’on peut connaître. Ceci implique le fait que les résultats sont souvent impressionnants dès le départ et visibles quelques semaines seulement après le début de la mise en place du programme.

Malheureusement, le corps va s’adapter plus ou moins rapidement et arriver à un équilibre dans lequel il sera capable de vaincre le stress imposé lors de l’entrainement, et ce, sans avoir besoin de construire davantage de muscle. Il faut savoir que la construction de muscle demande beaucoup d’énergie et de temps à l’organisme et que par ailleurs, cette activité est l’une des moins prioritaires à ses yeux.

 

Les vestiges du passé

 

L’espèce humaine a longtemps suivi le schéma du nomadisme et il était fréquent pour les civilisations d’alors, de ne pas disposer de nourriture de façon abondante. Aussi, l’évolution a privilégiée les profils génétiques qui étaient soit très fort physiquement et résistant constitutionnellement, soit capable de stocker facilement de la graisse et/ou capable de fonctionner avec assez peu d’apport calorique. Il faut bien comprendre que pour le corps humain, les muscles ne sont pas les tissus prioritaires. De surcroît, ces derniers consomment plutôt beaucoup d’énergie même lorsqu’ils sont au repos.

C’est pourquoi, la bonne logique consiste pour ce dernier à minimiser la masse maigre pour diminuer l’énergie nécessaire à la survie de l’ensemble. Ceci explique également pourquoi il est tellement difficile de construire du muscle 🙂

 

C’est ainsi qu’avant de s’atteler à la surcompensation, qui est l’étape la plus importante lorsque l’on souhaite développer sa masse maigre, le corps devra au préalable :

  • Assurer les fonctions vitales (métabolisme basal, respiration, battements du cœur, etc)
  • Lutter contre les agressions extérieures (microbes et virus)
  • Renouveler continuellement les tissus (muscles, os, cheveux, ongles, peau, etc)
  • Réparer les muscles endommagés par une activité anormale

C’est seulement après cette série de tâches que le corps sera en mesure de surcompenser en construisant davantage de muscle.

 

Comment savoir si l’on stagne ?

 

Il y a deux approches pour se rendre compte que l’on stagne. Une quantitative et l’autre qualitative :

La première consiste simplement à se baser sur des données mesurables mettant en évidence un manque de progression :

  • Pas d’augmentation de charge d’une séance sur l’autre pour un exercice
  • Pas d’augmentation du nombre de répétition pour un même exercice par rapport à la dernière séance (Mieux vaut essayer de faire plus de répétition avec le même nombre de séries que de faire autant de répétition et d’ajouter des séries, nous en reparlerons)
  • Pas de prise de poids depuis la pesée d’il y a 7 jours
  • Etc

Objectivement, donc il est possible de dire que l’on stagne lorsque les variables ci-dessus sont examinées et qu’elles ne reflètent pas d’amélioration sur le court terme.

La seconde consiste en une analyse holistique de son état :

  • Baisse de tonus
  • Fatigue chronique
  • Manque d’appétit
  • Difficultés d’endormissement et sommeil non réparateur
  • Difficultés de concentration
  • Propension à tomber malade plus facilement
  • Etc

Il est plus difficile de se rendre compte de son surentraînement en utilisant les facteurs qualitatifs. Mais il convient de toujours être sous observation pour détecter l’arrivée ou l’accentuation d’un des symptômes cités.

 

Dans ce cas, il est urgent d’agir et d’appliquer une règle simple !

 

Quelle est la solution la plus simple pour relancer la croissance ?

 

Si l’on n’a pas envi de trop se prendre la tête il suffit d’appliquer la règle des 4 P.

Cette règle stipule que dès lors que l’on a pas fait de progrès, que ce soit en matière de prise de masse ou de gain en force plus de 3 séances de suite, il convient d’augmenter les 3 leviers suivants dans l’ordre :

  • Plus de nourriture
  • Plus de charge
  • Plus de repos

Le résultat sera « plus de progression »

La règle des 4P
La règle des 4P

Mise en œuvre de la règle des 4P

 

Dès lors que les premiers signes de stagnation apparaissent, il faudra appliquer la méthode à différents paliers.

  • Plus de nourriture

Analyser (succinctement) vos apports calorique et en proportion de protéine et augmentez les simplement d’environ 10%. Concrètement cela reviens à augmenter un peu chacune de vos rations alimentaires. Si le problème se règle et que la progression repart, considérez le problème comme réglé jusqu’au prochain plateau.

 

  • Plus de charge

Si le premier point n’a pas été suffisant pour relancer la croissance ou dès l’atteinte du prochain plateau, il conviendra de se poser la question des charges utilisées à l’entrainement. Est ce que ces charges augmentent bien régulièrement ? Si tel n’était pas le cas il faudra se donner une semaine pour essayer d’augmenter les charges de 5 à 10%. Si la machine repars c’est parfait. Dans le cas contraire, il faudra actionner le dernier levier.

 

  • Plus de repos

En cas d’échec des deux premiers leviers, il ne vous restera plus qu’à lever le pied sérieusement sur la fréquence de vos entraînements en passant à 2 ou 3 par semaine. Si les premiers leviers n’ont pas pu vous remettre en selle c’est que la machine (vous et votre corps) est fatiguée.

Dans ce cas, réduction de la fréquence des entrainements, allongement des délais de récupération entre deux séances, optimisation et allongement de votre temps de sommeil seront les derniers remparts.

En cas d’échec, prenez 1 à 2 semaines de repos complet (aucune activité physique exigeante).

 

Dans la plupart des cas, l’application de cette méthode progressive des 4P vous permettra d’optimiser votre développement physique en répondant de façon graduelle à votre stagnation.

 

Et vous, comment réagissez-vous lorsque vous stagner ? Quelles stratégies adoptez-vous pour relancer le développement ? Vous rendez-vous seulement compte de l’arrête de votre progression ?