Le diktat du monde de la minceur : Chronique d’actualité

L’été arrive, les kiosques regorgent de magazines prônant la minceur, les régimes et les conseils de nutritionnistes. Depuis quelques années, les détracteurs de cet éternel recommencement se sont également exprimés, rejetant ce système plus ou moins imposé. Mais alors, sommes-nous réellement sous le joug de la dictature de la minceur ?

La beauté qui passe par un corps svelte est devenue, en l’espace de vingt ans, un synonyme d’accomplissement personnel. Entre les publicitaires qui nous bombardent et la progression de l’obésité partout dans le monde, le fossé se creuse entre l’offre et la demande, entre la maigreur et le bien-être personnel.

Bad food : augmentation de l’obésité

Ce n’est plus un secret, les médias en ont beaucoup parlé et en parlent encore aujourd’hui, l’obésité augmente, pas seulement aux États-Unis mais aussi en Europe. Force est de constater que les publicitaires ont réussi le challenge de nous faire manger plus et pas forcément de façon saine.

Nous aimons la malbouffe et ce n’est donc pas une surprise. Selon le scientifique S. Whiterley, les fabricants de l’industrie agroalimentaire ont dépensé des millions pour savoir quelle quantité optimale de gras de sucre et de sel mettre dans un produit pour stimuler le cerveau et lui donner envie d’en reprendre. Résultat : on mange trop !

S’il est vrai qu’au niveau mondial le surpoids concerne 1,4 milliard de personnes, en France on compte déjà 6,5 millions de personnes dans ce cas (soit 14,5% de la population adulte selon l’enquête de ObEpi). Le Docteur J.P Anfroy, Chirurgien bariatrique (de l’obésité) lors de son interview sur France Info affirme que “Dans les pays en développement, les gens voient leur pouvoir d’achat augmenter rapidement. Ils découvrent de nouvelles habitudes alimentaires, et finissent parfois par manger n’importe comment”.

La réponse Healthy

Vivre sainement : oui mais comment ? En réponse à l’augmentation de l’obésité dans le monde, certains continuent de miser sur une minceur maladive, d’autres en revanche s’informent et modifient leur comportements alimentaire avec notamment l’ajout de compléments. Les deux catégories se revendiquent d’une vie healthy mais seule une école de pensée est réellement orientée vers bien-être et à la santé. La plupart des régimes extrêmes et autres nécessitent d’acheter des suppléments nutritionnels naturels ou compliments alimentaires pour éviter les carences. Mais une vraie vie healthy ce n’est pas forcément devenir végétarien (ou végan) ou manger une pomme par jour, c’est tout simplement aimer son corps et en prendre soin. Choisir ses produits, manger des fruits et des légumes, des féculents, de la viande,  en quantité raisonnable et équilibrée. Il s’agit en réalité de l’envie d’aller bien, de traiter notre corps comme un ami, un allié, ne pas lui refuser ce dont il a besoin et éviter autant que possible de lui fournir de la malbouffe en quantité qui engendrera fatalement fatigue, mal-être et surpoids.

Le véritable mode de vie « healthy » n’est pas le culte de la minceur mais l’envie d’aller bien. Il s’agit d’apprendre à questionner ses habitudes alimentaires, de se reprendre en main car on est conscient que notre consommation n’est plus adaptée (matin: café, Midi: sandwich et fastfood, soir: faim immense donc grande quantité de nourriture). Rééquilibrer son alimentation c’est aussi manger plus sain, goûter des produits non raffinés voire bruts (avoine, blé, quinoa, baie de goji, noix, huile de colza, muesli bio etc…).

Réinventez votre alimentation, votre corps vous dira merci !

Régime d’avant les fêtes en 7 points 2 sur 2

Comme convenu et dans la continuité du précédent article, voici venu le temps de s’échiner quelque peu à la salle maintenant que nous avons bien préparé le terrain d’un point de vue nutritionnel !

On part toujours du principe que la récupération est au top (vous dormez suffisamment et n’êtes pas fatigué en vous réveillant le matin), la deuxième partie traite donc de l’activité physique de notre pratiquant en quête de physique « Lean » :

  1. Dans votre cuisine
  2. Dans votre salle de gym

Suivez ces quelques conseils pour vous préparer au mieux à profiter des fêtes sans remords ! Les conseils suivants sont classés par ordre d’importance (on ne change pas les bonnes pratiques).

Bien évidemment, il est recommandé de les suivre tous 🙂 comme d’habitude

Réduisez vos temps de récupération

Ce n’est pas nouveau, la réduction des temps de repos entre les séries contribue à augmenter la dette d’oxygène et donc la capacité du corps à brûler des calories plus longtemps alors même que la session est terminée. C’est un must.

Redoublez d’intensité

N’allez pas à la salle en dilettante. Jetez vos téléphones (a minima laissez-le au vestiaire pour une heure par jour ou vous vous entraînez). Donnez tout ce que vous avez, ne vous déplacez pas au Gym pour rien !

Ajoutez des sessions de kettlebell

La traditionnelle session de KB swing n’est pas à délaisser. Ajoutez une à deux sessions de KB swing de 15 minutes par semaine pour un surcroît d’activité non négligeable.

Pour les plus motivé, vous pourrez même essayer d’ajouter une ou deux sessions par semaine faisant suite à vos séances de musculation normales.

Faites de la natation

La natation est une activité éprouvante pour le corps. D’une part c’est physique mais en plus il faut se mettre en maillot de bain et donc le corps doit générer de la chaleur pour maintenir sa température. C’est une excellente activité pour brûler des calories !

Chercher l’activité physique

Votre club de sport a aussi des cours de fitness ? C’est le moment d’aller vous y amuser un peu après vos sessions de musculation. Avec un peu de chance vous pourriez même y prendre gout et/ou rencontrer des gens sympa (et plus si affinité avec encore un surcroît d’activité physique à la clé pour les meilleurs d’entre vous :)).

Augmentez vos charges

La traditionnelle recherche de la force vous permettra de recruter davantage de fibres et partant de brûler d’avantage de calories pendant la séance mais aussi après lorsqu’il s’agira de reconstruire tout cela !

Ne chauffez pas trop chez vous

Il fait froid, et c’est tant mieux ! couvrez-vous plus ou bougez-vous ! Vous avez des calories en trop sous forme de tissu adipeux il me semble 😉

Conclusion

La mise en place de la stratégie proposée par le précédent article aura préparé le terrain du corps afin que ce dernier soit disposé à bruler son gras pour contribuer à l’élévation de l’activité résultant de l’application des 7 conseils présents dans cet article.

En suivant l’approche complète, vous pourrez profiter de la fin d’année sans avoir peur de jeter en l’aire un an de travail acharné !

Mais attention, on revient dans le droit chemin dès le 1er janvier ! Pas de blague !

Et vous, quels sont vos conseils pour augmenter vos dépenses caloriques ?

Régime d’avant les fêtes en 7 points 1 sur 2

Parlons peu, parlons bien, parlons des choses qui fâchent. C’est le mois de décembre, le mois de novembre (le plus cafardeux) est derrière nous mais nous avons fait quelques écarts alimentaires pour nous aider à le traverser. Maintenant, l’hiver s’installe et nous avons besoin de réconfort pour braver le froid. Vous avez compris, la période est propice à la multiplication des écarts alimentaire !

En tout cas, c’est ce que j’ai observé pour ma part et il me semble que c’est le moment de donner un coup de vis sérieux pour préparer la période fatale des fêtes de fin d’année !

Partant du principe que la récupération est au top (vous dormez suffisamment et n’êtes pas fatigué en vous réveillant le matin), l’article est séparé en 2 patries pour traiter les deux autres piliers fondamentaux dont les batailles se déroulent respectivement :

  1. Dans votre cuisine
  2. Dans votre salle de gym

Suivez ces quelques conseils pour vous préparer au mieux à profiter des fêtes sans remords ! Les conseils suivants sont classés par ordre d’importance.

Bien évidemment, il est recommandé de les suivre tous 🙂

Supprimer les sucres simples

Encore une fois, c’est le point de départ du laisser-aller. Les douceurs sucrées sont absolument sans pitié pour votre santé et votre physique. Non seulement, elles créent une dépendance aussi forte que celle des opiacé (oui tout à fait, la drogue dure) mais en plus elles sont présentes partout et disponible pour une bouchée de pain (ironie). Et pourtant, c’est le premier aliment dont nous avons le moins besoin. Généralement, la lutte est perdue d’avance si vous avez des sources de sucres simples chez vous. Bazardez tout par-dessus bord, donnez tout cela à n’importe qui à qui cela fera plaisir, apportez vos gâteaux sucrés au boulot (mais n’en mangez plus !). Pâtisseries itou !

Remplacez ces petits plaisirs par un carré de chocolat noir à 70% par exemple (dur mais on s’y fait).

Augmenter les volumes d’eau

Vous buviez déjà 4 litres d’eau par jour ? Bien ! Passez à 5 ! L’eau c’est la vie, le froids dessèche la peau, buvez autant d’eau à température ambiante que possible. Cela vous fera patienter jusqu’au prochain repas et cela facilitera l’élimination des toxines de votre corps. Cela facilitera également l’élimination des protéines non consommées.

Augmenter les rations de protéines

Etant donné que vous allez manger moins de sucres (rapide comme lents, cf. point suivant) il va vous falloir trouver vos calories quelque part.

Dans un premier temps cela passera par une hausse de la contribution obligatoire des protéines dans votre ration alimentaire.

Supprimer le lait et le fromage

Vous buviez encore du lait ? Pas bien ! Au minimum, supprimez ce breuvage d’une autre époque et poison pour votre organisme. Vous ne pouvez pas demander l’impossible à votre corps et lui donner du carburant poison ! Supprimer également le fromage. Vous verrez que cette année en faisant cela, vous échapperez au traditionnel rhume !

J’en vois d’ici qui traine des pieds. Les yaourts restent autorisés dans la limite du raisonnable J

Augmenter les légumes

Nous y voilà ! Haricot verts, blancs, rouge, flageolets, allez-y de bon cœur ! Et même dès le matin sans problème.

Booster les apports en micronutriments

Ce n’est pas une période rigolote pour le corps. Ce ne sera pas non plus une partie de plaisir pour le mental alors boostez vos apports en vitamines et minéraux. D’abords dans la nourriture de base comme les abats et les fruits de mer et autre poissons ou alors dans les suppléments comme les levures.

N’hésitez pas non plus à taper dans le Berocca sous forme de cure renforcée !

Surveiller les apports en graisses et en sucres complexes

Assurez-vous de manger suffisamment de graisses pour contribuer à une balance énergétique correcte. Pour cela, mangez des œufs, et assaisonnez vos salades d’huiles naturelles à la noix, olive et autre.

Dans le même temps, méfiez-vous de ne pas apporter trop de sucres complexes sous forme de riz, pate et autre féculent. Réduisez d’ailleurs ces portion à la faveur des légumes et légumineuses.

Conclusion

En matière de serrage de vis alimentaire, il n’y a pas 36 solutions et il ne faut pas se leurrer, bien souvent c’est un peu douloureux. Mais la récompense ne se fera pas attendre bien longtemps et surtout ce vous permettra d’aborder la suite des hostilités de façon sereine (aussi sereine que possible en tout cas).

Une fois que vous aurez mis en œuvre ces 7 points dans voter cuisine pendant une semaine vous serez prêt à vous essayer aux 7 autres points dans votre Gymnase. Et là, c’est le succès assuré.

Tout est dit, passons aux choses sérieuses et à la mise en pratique sans faille. On compte sur vous et à la semaine prochaine pour la suite !

Et vous, quels sont vos conseils pour serrer les vis de votre régime alimentaire ?

Une histoire de cuiller

L’objet du billet du jour est assez incongru. Il s’agit pourtant d’une technique remarquable concernant l’alimentation. Dans la quête d’un meilleur physique, il nous appartient de trouver, tester, sélectionner, adopter puis délaissé les meilleurs outils du moment en fonction de nos objectifs à l’instant t.

Les outils peuvent être d’ordre matériel (poids, aliments, nutriments, etc.) ou conceptuels (méthodes, techniques, méthodologies, etc.)

Bien entendu, les deux types sont approchés sur développement-physique.com

Ici nous parlerons tout simplement d’un objet qui se trouve dans votre tiroir de cuisine : la cuiller

L’outil

La cuillère ne date pas d’hier. En effet elle fut utilisée dès la préhistoire pour manger des escargots, c’est d’ailleurs ce qui lui a donné son nom (cochleare). Source: Wikipédia).

Plus proche de nous, son utilisation est devenu une évidence (souvent pour de mauvaises raisons puisque c’est assez rare d’utiliser des cuillers pour manger des aliments à forte valeur ajoutée, soupes et bouillons mis à part).

La cuiller est bien souvent utilisée pour manger essentiellement des desserts et autre dangerosité de nos sociétés de consommation actuelles. Mais alors comment faire en sorte d’utiliser cet outil à notre avantage ?

Simplement en jouant sur la taille de la cuiller. Cuiller à soupe ou cuiller à café voire cuiller à sucre !

Ci-dessous une liste des avantages et inconvénients des 2 types :

Avantages de grosse cuiller

  • Permet de négocier rapidement un bol d’avoine sans avoir à y passer 20 minutes. Même chose pour les yaourts d’ailleurs.
  • Permet un apport plus rapide d’aliments pouvant être utile dans le cas d’une prise de masse. Le cerveau mettant plus de temps à envoyer son message de satiété que n’en met la cuiller pour apporter plus de calories, nécessaire à la construction de tissu musculaire.

Avantage de la petit cuiller

  • Laisse plus de temps au cerveau pour prendre conscience que l’état de satiété est atteint.
  • Permet de manger plus en nombre de cuiller mais toujours moins en terme de quantité. C’est idéal pour éviter la frustration des phases de contrôle calorique.

Si votre objectif est la prise de masse, vous pourrez avoir intérêt à graduellement passer de la petite cuiller à la cuiller à soupe pour vos repas (yaourts, avoine, céréales, voire desserts avec modération, etc.)

En revanche, si votre objectif est surtout de perdre du poids, utilisez prioritairement des cuillers à café (voire à sucre, modèle encore plus petit).

Cela n’a pas l’air de grand-chose comme ça mais c’est redoutablement efficace. C’est en partie en passant à la grosse cuillère (en donc en mangeant 2 fois plus d’aliments que précédemment avec la petite cuiller) que j’ai réussi à faire une bonne prise de masse digne de ce nom il y a quelques années.

Conclusion

Cet ustensile aussi banal que la cuiller peut rapidement devenir un allié dans la quête d’un physique répondant plus à nos attentes. Il suffit de prendre conscience de cela et choisir la taille de sa petit cuiller en conscience.

Essayer ces deux méthodes et vous m’en direz des nouvelles ! Résultats garantis après 2 semaines d’utilisation en moyenne.

Et vous, êtes-vous plutôt grosse cuiller ou petite cuiller ?

Le village gaulois au pays du gras

Aussi content que nous puissions être avec notre apparence physique, il demeure toujours un endroit, une partie de notre anatomie qui nous semble réfractaire à laisser partir ces quelques grammes de gras. Nous utiliserons l’image de l’empire romain du muscle et du village gaulois d’irréductibles celleules graisseuses.

Le village gaulois

L’image est relativement bien choisie je dirais : D’une part on met en place une discipline de soldat pour faire en sorte que notre empire romain du muscle soit le plus en ordre possible et d’autre part on a toujours un petit village réfractaire de cellules graisseuses qui semble gâcher systématiquement la fête.

Bien que ce village gaulois du gras ne soit qu’une toute petite partie du tout, nous faisons une fixation dessus qui nous empêche de voir déjà tout le travail accompli.

Identifier son village gaulois

Il n’est possible d’identifier son village gaulois que lorsque l’on a déjà pas mal avancé dans notre développement physique. En effet, tant que les cellules graisseuses sont présentes de manière répartie dans tout le corps, il est impossible de localiser le point récalcitrant suffisamment précisément.

La première étape est donc de faire descendre son taux de masse grasse à environ 15%. C’est à partir de ce taux que la perte de gras aui était uniforme, va commencer à se faire pllus rapide sur beaucoup d’endroits, à l’exception du village gaulois. Bien souvent, ce village se situe:

  • Au niveau du bas ventre
  • Au niveau des cuisses (généralement pour les femmes)
  • Au niveau des fesses

Une fois que vous l’avez localisé, vous pourrez l’utiliser à votre avantage.
Rassurez-vous tout de suite, tout le monde à son village Gaulois. Et vous n’en avez qu’un seul et unique. Si vous pensez que vous en avez identifié deux, c’est que vous n’avez pas un taux de masse grasse suffisamment faible.

Utiliser son village gaulois

Une fois qu’on a bien identifié la partie de notre corps qui a de grandes chances d’être le dernier rempart vers notre idéal, il suffit de focaliser dessus pour le suivi de la progression.

Comment tirer parti de du village gaulois en phase de de perte de gras ?

Pour le suivi de l’avancement

Bien souvent, dès que l’on réussit à réduire le taux de gras dans cette partie, le reste du corps fera état d’une réduction bien souvent plus spectaculaire encore. Ainsi, si vous avez mis en place une démarche particulière pour perdre du gras, l’évolution de l’aspect de votre village gaulois sera un excellent indicateur visuel de la réussite our de l’échec de votre approche.

Pour le maintien d’un taux de masse grasse faible

De la même façon que c’est le dernier endroit qui perdra sa graisse, c’est inversement aussi celui qui récupérera le plus vite cette dernière en cas de laisser aller (mais cela n’arrivera pas n’est ce pas?)

Une fois votre idéal (provisoire) atteint, il suffira de vous focaliser sur ce village pour savoir si vous êtes toujours dans un état d’équilibre ou si vous devez faire attention à votre alimentation et/ou augmenter vos dépenses caloriques.

Conclusion

Comme bien souvent, il est possible d’utiliser ce qui semble un défaut à première vue pour en faire un levier puissant dans notre quête de développement physique.

Bien connaître son corps permet de limiter (voire de s’affranchir de) beaucoup de contraintes (comme peser sa nourriture, tous noter dans un carnet, suivre son taux de masse grasse, etc).

Et vous, connaissez-vous bien votre corps ? Et votre village gaulois du gras ?

Article sponsorisé – Pourquoi utiliser un booster de testostérone

La testostérone est une hormone humaine plutôt bien connue du grand publique. Elle est naturellement produite par le corps tant chez l’homme que chez la femme, la différence réside dans la quantité produite, puisque les hommes en produisent bien plus que les femmes.

La testostérone joue un rôle important dans le développement physique et en particulier sur le développement de masse maigre.

Pour la petite histoire, l’homme produirait jusqu’à 20 fois plus de testostérone que la femme, ce qui explique pourquoi les femmes normalement constituées ne peuvent généralement pas développer leur masse musculaire de façon à atteindre un niveau proche de celui des hommes.

Cela étant dit, à l’intérieur même du groupe des hommes, tous ne sont pas égaux quant à leur production de testostérone et à la sensibilité de leur structure à cette dernière. En d’autres termes, certains hommes produisent naturellement plus de testostérone que d’autres.

Des difficultés à prendre de la masse ?

Dans la majorité des cas, les pratiquants qui peinent à développer de la masse maigre peuvent être classé en 3 catégories :

  • Un manque de masse maigre dû à une alimentation faible en protéines  et inadaptée
  • Un manque de masse maigre dû à un manque de sommeil et/ou de récupération
  • Un manque de masse maigre dû à une routine inadaptée (poids trop légers, trop de cardio, etc.)

Bien que ces 3 piliers doivent être soigneusement pris en compte, il faut bien être conscient que la testostérone facilite la transformation de protéines en muscles.

Dans cette étude, par exemple, la testostérone a aidé à synthétiser jusqu’à 27% de masse musculaire supplémentaire à partir de protéines. En gros, toute chose égale par ailleurs, celui qui dispose de plus de testostérone a un pouvoir de développement 1/3 supérieur à la moyenne. Ce qui n’est pas négligeable.

Inversement, si le taux de testostérone sanguin est faible une partie plus ou moins importante des protéines ingérées ne sera pas exploitée à leur juste valeur par les structures du corps.

Ainsi donc, lorsque l’on s’est assuré que les trois piliers étaient correctement mis en place et que les gains ne sont toujours pas au rendez-vous, le hic réside peut-être bien dans le manque de testostérone.

Stéroïdes vs Booster naturel

Dans quasiment toutes les salles de musculation, on tombe sur quelques spécimens intéressants puisqu’ils ont réussi à développer des bras comme nos cuisses.

Pour une partie, la probabilité pour qu’ils prennent ou qu’ils aient pris des substances illicites est assez élevée.

Pour d’autres, ils sont effectivement génétiquement dotés et ont travaillé dur (pas toujours correctement, mais c’est un autre débat) pour en arriver là.

Et puis il y a aussi ceux qui ont utilisé des techniques naturelles pour optimiser leurs niveaux hormonaux.

Inutile de digresser sur les dangers de la prise de stéroïdes et le fait que cela soit en contradiction même avec l’esprit du culturisme originel et du développement physique. Le lecteur assidu de developpement-physique.com le sais mieux que quiconque.

Les boosters naturels de testostérone peuvent être une option valable pour augmenter naturellement ses niveaux de testostérone, et ce, en toute sécurité car c’est bien le corps lui-même qui produira son hormone en osmose avec tous les autres mécanismes physiologiques.

Le résultat ne sera certes pas comparable avec une prise de produit stéroïdien mais la différence sera tout de même intéressante surtout si les niveaux de départ sont plus bas que la normale (dû à un épuisement, un surentrainement ou autre).

Parmi le grand nombre de boosters naturels de testostérone qu’il existe sur le marché, TestoFuel s’avère être un choix judicieux car il se focalise également sur des nutriments qui aideront à la production de testostérone mais pas uniquement. En effet, Testofuel contient de grandes quantités de vitamine D et d’acide aspartique D (qui sont les 2 ingrédients naturels connus pour augmenter la testostérone).

Autres bénéfices liés à un taux de testostérone élevé

Petit bonus : En plus d’accroître votre masse musculaire, l’augmentation naturelle de la testostérone permet de :

  • diminuer la quantité de graisse corporelle
  • augmenter la résistance de votre squelette
  • diminuer les risques de dépression
  • améliorer votre libido
  • améliorer vos capacités cognitives

Conclusion

L’efficacité de la testostérone sur la prise de masse musculaire n’est plus à démontrer ; cela relève de l’état de fait. Plus on produit de testostérone plus les probabilités de construire du muscle et de développer sa force augmentent.

En plus d’une alimentation saine et équilibrée, d’une prise alimentaire de protéines suffisante, d’exercices adaptés et de moments de récupération, il est conseillé de surveiller ses niveaux de testostérone afin qu’ils soient à leur maximum, et ce afin de prendre le plus de masse musculaire possible.

La prise de produits de synthèse étant exclue, un bon booster naturel de testostérone permettra de maximiser la prise de masse, grâce à des ingrédients 100% naturels.

C’est pourquoi il est préférable d’utiliser un produit comme TestoFuel afin de donner ce coup de pouce supplémentaire à votre corps.

Et vous connaissez vous Testofuel ? L’avez-vous déjà utilisé ? Pour quels résultats ?

10 Astuces pour survivre à un ACE

Rassurez-vous, on ne parlera pas de tennis dans cet article (cela étant, ce n’est pas exclu qu’on en parle plus tard sur developpement-physique.com). Il faut comprendre ACE comme la contraction de « All You Can Eat », ou encore « Buffet à volonté » en bon français..

J’ai récemment eu l’occasion de séjourner dans un complexe dans lequel étaient servi 3 repas sous forme de buffet à volonté, par jour. Et pour quelqu’un qui aime la bonne nourriture, c’est une véritable épreuve.

Je souhaite vous faire part des enseignements que j’en ai tiré sur le plan du développement physique et en particulier du maintien d’une silhouette svelte et exempte de graisse :

Les 10 astuces pour survivre

Vous l’aurez compris, on parle plus de survie de votre ligne que de survie au premier sens du terme. En effet, les buffets à volonté peuvent être de bons alliés ou vos pires ennemis suivant votre façon de les aborder et vos objectifs du moment.

  • Ne boire que de l’eau

On l’a déjà dit, votre corps n’a besoin que d’eau pour ses besoins en liquide. Toutes les autres options (bière, jus, etc) devraient être réduites au maximum (exception faite d’un verre de vin rouge de temps à autres). Et c’est particulièrement vrai lorsque vous êtes en situation de pouvoir manger plus que de raison. Dans ce cas, ne boire que de l’eau réduira l’impact d’une suralimentation sur votre corps, alors que consommer des calories liquides ajoutera de la charge glucidique inutile pour votre corps.

  • Faire systématiquement du sport avant chaque buffet

En effet, le sport déclenche un besoin réel en nourriture, besoin qui est moins présent lorsque nous sommes sédentaires. Ainsi, les aliments ingérés après une séance éprouvante de sport seront systématiquement mieux utilisés que si le pratiquant n’avait pas dépensé de calories avant son repas.

Au pire, faites quelques pompes bien intenses avec 3 ou 4 séries de « air squat » menés à l’échec, ce sera toujours mieux que rien.

  • Manger beaucoup de sources de protéines maigre à tous les repas

Avant tout, dirigez vous vers des sources de protéines à chaque repas. Mieux dirigez-vous vers les sources de protéines maigres comme le poulet, le poisson cru ou cuit à l’eau, des œufs, le tofu dans une moindre mesure et le jambon maigre.

Consommez de la viande en sauce avec parcimonie et évitez soigneusement la charcuterie.

Cela permettra de couvrir au moins les besoins en protéines pour vos muscles. En effet, le pire étant de manger plus que de raison des aliments dont votre corps n’a pas besoin (sucre en particulier, mais aussi mauvaises graisses).

Avec une bonne source de protéine, vous faites un pas dans la bonne direction.

  • Manger systématiquement beaucoup de de légumes

Dans cette difficile épreuve, les légumes seront vos plus sérieux alliés. Après avoir choisi une source de bonne protéine, remplissez votre assiette de légumes idéalement crus ou bien cuits à la vapeur. Attention aux légumes préparés et cuisinés au beurre et/ou en sauce, le total calorique monte en flèche.

Salade, brocolis, choux de Bruxelles, carottes, champignons, cornichons, tomates sont autant de bons candidats.

  • Manger des fruits avec parcimonie

Soyez raisonnable sur les portions de fruits que vous vous autorisez. N’oubliez pas qu’une moitié d’orange goute aussi sucré qu’une orange entière.

  • Se méfier du fromage

Le fromage est une source insidieuse de calories, en particulier les fromages à pates dures. Soyez raisonnable dans le choix et la quantité. Par exemple, prenez une seule portion de comté et mélangez-le à votre salade (ne mangez pas de pain avec).

Une autre option pourrait-être de substituer le fromage par un simple yaourt nature en fin de repas.

  • Rester à l’écart des aliments frits

Pas plus d’une cuiller d’aliments frits par jour et idéalement aucun. Souvenez vous que les aliments frits ont été dénaturalisés et sont bien plus pauvre en éléments nutritifs que les produits frais, et quand on voit la charge caloriques qu’ils apportent, on conclue qu’on en a vraiment pas besoin. Rester à l’écart !

  • Limiter l’apport en glucides complexes

Comme vous aurez accès à autant de légumes que vous le voulez et autant de sources de protéine, limitez drastiquement vos portions de glucides compexes comme le riz et les pâtes. Préférez leur de petites portions de légumineuses (lentilles, pois cassés, pois chiches, flageollets) ou carrément des légumes verts.

  • Rester vigilants quand aux sucres simples dans les plat préparés

En fait, les plats préparés et/ou cuisinés sont trop souvent victime d’additifs sucrés pour rehausser le goût des aliments. Restez le plus simple possible et si vous pouvez, ne consommez pas de plats cuisinés ou alors dirigez-vous vers les plus simples.

  • Etre raisonnable sur les douceurs

Idéalement, ne vous autorisez qu’un seul dessert le soir sur la journée. Eventuellement deux petits desserts le soir si vous revenez d’une séance de sport particulièrement éprouvante qui nécessite un peu de réconfort.

Conclusion

Résister à la tentation de trop manger est difficile, surtout lors des buffets à volonté, mais ce n’est pas impossible dès lors que l’on se fixe des lignes de conduites claires, simple et efficaces.

En respectant les astuces ci-dessous, je n’ai pris qu’un kilos de poids de corps en deux semaines de buffet à volonté matin, midi et soir. Je pense que c’est une bonne performance 🙂

Si j’ai pu le faire, vous pouvez aussi.

Et n’oubliez pas, profitez de la variété de choix pour découvrir de nouveaux aliments et casser un peu votre routine !

Bon courage !

Quelle sont vos astuces pour éviter de trop manger lors des buffets à volonté ?

Les 3 modes de cuisson de la viande

On parle bien souvent de ce que l’on devrait manger pour être bien dans son corps, mais on oublie souvent de parler de la préparation des aliments pour qu’ils restent à la fois simples et sains tout en étant appétissants. Tout bon pratiquant saura que l’on trouve des protéines complètes dans les différentes viandes (bœuf, cheval, poisson, poulet).

Chacune de ces sources a ses caractéritiques mais les viandes blanches (en particulier le poulet et la dinde) possèdent une teneur élevée en protéine tout en n’apportant qu’un nombres très réduit de lipides.

C’est donc une source à prévilégier pour quiconque souhaite perdre de la masse grasse. Sachant cela, comment peut on préparer nos viandes blanches au quotidien?

Voyons les 3 modes de cuissons de la viande blanche (applicables éventuellement aux autres viandes).

Grillade

Une façon tout à fait appétissante de préparer ses filets de poulet ou de dinde consiste à les faire rotir en grillade. Bien souvent, ce mode de cuisson est utilisé lors des barbecues et permet de donner une petite note de bois au goût de la viande qui n’est pas désagréable.

Avantages : Une grillade est un bon moyen de se faire plaisir sans abuser sur les mauvais ingrédients. Un filet de poulet en grillade est délicieux sans ajout de matières grasse ni autre condiment.

Inconvénients : On ne peut pas faire de grillade n’importe ou et n’importe quand :). La logistique à mettre en place peu rebuter.

Un conseil : Ne laissez pas la viande cuire trop longtemps pour qu’elle ne soit pas dure et évitez de mettre cette dernière en contact directe avec les flammes.

A l’eau

La cuisson à l’eau est relativement peu usitée. En premier lieu parce que l’on n’y pense pas, et en second lieu parce que l’on a pris la mauvaise habitude de toujours ajouter quelques choses à la cuisson de la viande. Avec ce type de cuisson, il n’y a que deux ingrédients : de l’eau et de la viande.

Vous vous rapporchez de la nature et de la simplicé, c’est une très bonne chose.

Avantages : Mode de cuisson très simple qui n’implique que très peu d’ingrédient et pas plus d’ustensiles et de vaisselle. Idéale pour préparer des fines tranches de filets pour vos salades ou prévoir de cuire des morceaux en grande quantité pour vos repas préparés. C’est un mode de cuisson qui respecte les nutriments présents dans la viande et vous retirerez le maximum de valeur nutritionnelle de vos plats grâce à elle.

Inconvénients : Le goût peut quelque fois apparaître un peu fade mais c’est une question de temps et d’habitude. Souvenenz vous que vous devrez certainement vous déhabituer à manger avec trop d’additifs et autre sauce et revenir au goût des choses simples.

Autre inconvénient, de la dinde cuite à l’eau trop longtemps est vraiment difficile à manger…

Un conseil : Coupez vos filets en petites lamelles fines ou en petits dés afin de limiter le temps de cuisson et faites surtout attention de ne pas trop les laisser cuire longtemps. Il vaut mieux une cuisson pas finie que’une viande trop cuite laissant un goût de plastiqu.

A la poêle

Le mode de cuisson le plus utilisé et je vous le donne en mille, le moins efficace.

Avantages : Permet de dorer le filet grace à l’huille que l’on ajoute. Le gout est plus relevé.

Inconvénients : Outre le fait que l’ajout d’huile (ou autre matière grasse moins recommandable) est bien souvent trop important par rapport au morceau de viande à cuire, il se trouve également que l’huile n’est pas stable à haute température  et qu’elle peut se transformer et devenir nocive pour vous dès lors qu’elle brûle. Il vaut mieux limiter ce mode de cuisson et préférer la cuisson à l’eau en hiver et les grillades en été.

Conclusion

Bien que ce n’est pas souvent le mode auquel on pense de prime abord, essayez de cuire votre viande à l’eau en faisant bien attention de ne pas trop la laisser pour qu’elle ne durcisse pas et conserve sa tendresse et son goût. Evitez la cuisson a la poêle et si vous devez l’utilisez, prenez garde de ne pas faire brûler l’huile (ne faites pas saisir votre tranche car la température trop haute modifie la structure de l’huile et la rend mauvaise. Pour les grillades, ce sera pendant l’été en prenant garde de ne pas laisser la viande entrer en contact avec les flammes pour ne pas récupérer des saletés.

Comment faites-vous cuire votre dinde ?

Utilisez les publicités pour perdre du poids

Oui vous avez bien lu, il est possible d’utiliser la publicité pour perdre du poids et/ou optimiser votre développement physique.

En tant que citoyen des temps modernes, vous savez probablement que notre système de croissance repose sur la consommation. Aussi, il est logique que les industries, et en particulier l’industrie agro-alimentaire, afin de faire toujours plus de profit, nous poussent à la consommation. Et une fois que l’on a consommé tout ce que l’on pouvait, alors il faut inventer de nouveaux produits pour que le consommateur ne s’endorme pas et continue de rechercher la nouveauté !

C’est tout le piège…

La tendance

C’est à cause de ce système que de nombreuses professions du marketing et de la communication ont vu le jour. On a vu naître des professions telles que les télé marketeurs et les chargés d’enquêtes qui ont pour mission d’apprendre de vos comportements pour vous proposer les bons produits au bon moment afin de minimiser vos capacités de résistance à l’achat.

Les pro du design sont ensuite là pour donner une belle touche à tous les produits agro-alimentaires pour les rendre irrésistibles pour le consommateur (cf. le photographe de hamburger).

Et jusqu’aux professionnels de la santé qui vous refourguent des médicaments pour vous aider à mieux digérer ces produits nocifs pour que vous puissiez rapidement remettre le couvert…

Ou va – t-on…

Ainsi, la publicité et l’envie sont notre quotidien. Cela dit, il est aussi possible d’utiliser ce système pour distinguer ce qui est bon de ce qui est mauvais. Voici comment.

Pris à son propre jeu

En fait, l’arme absolue pour reprendre la main sur son apparence physique, tant pour perdre du poids que pour développer un corps plus sain, plus robuste et en meilleur santé, est la suivante :

  • A chaque fois que vous vous promenez dans la rue, dans le métro, ou au supermarché ou encore lorsque vous surfez sur le web ou parcourez des journaux, rappelez-vous de ne jamais acheter les produits alimentaires dont on fait la promotion.
  • La seule exception (et encore, il faudra être prudent) reste les denrées de bases.

Avez-vous vu beaucoup de publicité pour l’eau de votre robinet ? Et pourtant c’est celle que vous utilisez le plus.

Les légumes frais par exemple ne font pas l’objet de publicité dans le métro. En revanche le beurre a fait l’objet d’une campagne de publicité récemment et les produits laitiers également. Or vous connaissez mon point de vue sur le lait et les produits laitiers.

En synthèse

  • Les denrées de bases peuvent être achetées sans souci
  • Tout produit, nouveau, marketé ou brandé ou tout plat préparé et dont on vous fait la promotion devrait être ignoré

En suivant cette règle simple, vous éviterez d’acheter et de consommer une quantité astronomique de cochonneries et votre corps vous remerciera très rapidement !

 

Faites-vous parti des consommateurs qui se font tromper par la publicité ou bien êtes-vous désormais capable d’utiliser la publicité à votre avantage ?

Les 6 indices qui montrent que vous mangez trop gras

Entrons tout de suite dans le vif du sujet : Comment savoir si l’on cuisine et/ou si l’on mange trop gras ? Un faisceau d’indice permet de savoir, malheureusement bien souvent après que les dégâts aient été faits, si votre repas était trop riche en graisses.

En voici la liste sans plus attendre:

Les indices

  • Le plat est roboratif : Outre les fibres et les protéines, les graisses ont la capacité de faire atteindre une sensation de satiété plus rapidement que les autres nutriments. Souvenez-vous que vous devez sortir de table avec une sensation de faim tout juste comblée. Il devrait vous être possible de continuer de manger par gourmandise (mais vous n’en ferez rien !). Si votre portion est petite et ne contient vraisemblablement pas beaucoup de protéines ou de fibres mais que vous avez tout de même du mal à la terminer, c’est que les graisses y sont pour quelque chose !
  • Il faut avoir recours à du liquide vaisselle pour nettoyer les couverts ou le plat utilisés pour confectionner et/ou déguster le plat : Si votre assiette ne peut pas être nettoyée simplement en utilisant de l’eau et une éponge, il y a fort à parier que la quantité de graisses absorbée pendant le repas était trop importante.
  • Le plat placé au frigo fige rapidement : Les plats chauds en sauce dissimulent les graisses. En effet, elles sont partout et mélangées aux autres aliments. Elles sont « fondues » dans le paysage. En revanche, si une pellicule (parfois même une couche si vous avez abusé) se forme une fois au frigo, considérez que vous avez absorbé à peu de chose près la même chose lors de votre précédente dégustation. Essayez d’éviter de reproduire l’expérience (vos artères vous remercieront bien assez tôt).
  • Le plat est élaboré : Cet indice s’applique en premier lieu aux desserts. Bien souvent, les desserts sont très élaborés et il est quasiment obligatoire de passer par la case « ajouter 150 grammes de beurre » quand ce n’est pas « battre la crème en ajoutant l’huile »… En général, les matières grasses sont utilisées (sans beaucoup de parcimonie) dans les desserts pour les lier. Il est donc logique de trouver des corps gras dans n’importe quel dessert. En conclusion, évitez les desserts quels qu’ils soient.
  • Le plat est difficile à digérer : Normalement, un plat ne doit pas peser sur l’estomac dans la mesure où vous avez été raisonnable dans sa consommation. A posteriori, si la digestion est difficile c’est que soit un aliment vous dérange (allergie ou autre) soit trop de graisses sont à traiter par le corps, ce qui a pour conséquence de le fatiguer rapidement.
  • Le plat doit être conservé au frigo : C’est bien connu, les graisses laissées à l’air libre rancissent. Dès lors qu’un plat rancit c’est qu’il contenait (trop) de graisses 🙂

Et vous comment vous rendez vous compte que vous avez mangé trop gras ? Quels sont vos moyens pour savoir si vous avez mangé trop gras ?